Jusqu’où le régime en place va-t-il continuer sa politique systématique de destruction du Mali ? Quand est-ce-que le président Ibrahim Boubacar Keïta se rendra-t-il compte que sa gouvernance (calamiteuse) est en train de conduire le Mali vers le chaos ? Comment un grand pays comme le nôtre peut-il atteindre un tel seuil de déconfiture sous les yeux d’une élite indifférente, et d’une population impuissante ?
Ce sont là, entre autres, questions que l’on ne peut pas s’empêcher de poser au vu de la situation à la fois désastreuse et inquiétante d’un Mali couplement abîmé par les actes de destruction quotidiennement posés par le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta.
En effet, les maladresses politiques, le pilotage à vue, les tâtonnements répétitifs, les scandales politico-financiers, l’ingérence de la famille dans les affaires publiques : voilà les principales identités de la gestion désastreuse des affaires publiques depuis septembre 2103.
Conséquence ? La majorité naguère silencieuse parmi les populations traumatisées commence maintenant à pousser des cris à cause des coups de Jarnac à elle assenés par des gouvernants à l’amateurisme éprouvé. Pour beaucoup de nos compatriotes, le plus grand mal du Mali actuel est sans doute son chef de l’Etat.