Depuis quelques jours, il est constaté dans la capitale le retour progressif des feux tricolores. Installés comme pour embellir les différentes communes, les feux tricolores reprennent de plus en plus du service. Afin de pouvoir servir ce que de droit.
Depuis plusieurs mois voire des années certains feux présents dans la capitale n'étaient plus fonctionnels. Ils ne servaient plus qu'à embellir la capitale. Face à cette défaillance, le rôle des policiers dans la circulation avait augmenté. Et puis, le non respect du code de la route s'accentuait. Mais, il y a quelques jours, Bamako reprend goût des feux qui en plus de l'embellissement jouent leur rôle régalien pour le bonheur des motocyclistes, automobilistes entre autres. Ce qui, à n'en pas douter, va encore diminuer les accidents si et seulement si le code de la route est respecté. Bienvenu au sommet Afrique-France !
SECURITE DE LA CAPITALE : En assurance mais…
Aujourd'hui, Bamako a l'air d'une capitale sécurisée. Car, elle est presque quadrillée de jour comme de nuit par les porteurs d'uniformes notamment la police en stationnement et en patrouille. Cependant, il est connu par tous à Bamako qu'il y a des quartiers ou encore des zones précises où se trouvent les grands voleurs, les grands bandits ou délinquants.
A quelques jours des fêtes de fin d'année et à un moment où planent plusieurs menaces sur la capitale et ses environs, le ministre Colonel Major Salif Traoré de la Sécurité Intérieure et de la Protection Civile semble opter pour la prévention. "Mieux vaut prévenir que de guérir.", dit-on. Alors, après quelques désaveux, pourtant l'Etat s'emploie à déployer les gros moyens, il était aujourd'hui important de prendre le taureau par ses cornes. C'est ce que semble désormais faire le ministre avec ses différentes brigades anticriminelles et antiterroristes plus les autres corps pour la sécurité des populations et leurs biens.
En effet, il ressort de nos enquêtes que certains quartiers comme Niamakoro, Daoudabougou, Banconi, Sikoroni, Hippodrome II, Bakaribougou entre autres ne bénéficient pas de l'appui constant des forces de sécurité. Puisque ces quartiers restent encore les cibles des bandits et des voleurs de grand chemin qui brigandent, volent et tuent les gens. Cependant, il faut aussi la bonne collaboration des populations avec les forces de sécurité pour pouvoir traquer les voleurs et les bandits qui sont connus. Pour se faire, il a été mis gratuitement à la disposition des populations un numéro vert, le 80.331.