Sur les temps des nostalgies, après les condoléances et les adieux répétés de celle qui a fini. 2016 partie et à jamais avec ses joies et ses peines, difficile de l’oublier tant elle aura marqué les esprits, tous les esprits, à tout point de vue. Ne nous y attardons donc plus, accueillons 2017 avec confiance, espérance, sérénité et détermination.
Cette nouvelle année qui a commencé dimanche 1er janvier, présage des lendemains meilleurs. Gardant nos attentions, toutes nos attentions sur l’essentiel des défis qui, consiste à consolider les acquis sécuritaires, sociaux, économiques, les autorités nationales sous l’impulsion du président Keïta, travaillent au positionnement de notre pays sur l’échiquier africain. Cela, n’est pas au-dessus de leur intelligence, de leur savoir- faire, de leur engagement pour la mère patrie.
Déjà, l’autorité de l’Etat qui s’était effritée, s’est rétablie, un challenge énorme lorsqu’on sait l’état dans lequel, le pays se trouvait au lendemain de la présidentielle et des législatives de 2013. La mise aux pas des jeunes gens de Kati. On ne le dit pas très souvent et nos gouvernants, par modestie, oubli ou quoi, n’évoque presque jamais cette grosse réussite qui à la limite, est le pan le plus important de ce mandat. Le président Keïta, il faut le dire et pourquoi pas, a réussi à remettre le pays sur ses jambes, lui a montré le chemin du développement. D’espérance, nous ne pouvons pas espérer mieux, même si beaucoup reste à faire.
Cette nouvelle année a commencé sous le signe de l’Espérance, en ce qu’elle a invité chez nous, ici à Bamako, dans les tous prochains jours, plusieurs dizaines de Chefs d’Etats africains et de France, autour de la table, afin, que les problèmes soient posés, et l’ébauche de leur solutionnement. C’est le sommet Afrique- France. Un pays en lambeau sans repère, dépourvu de la confiance des autres pays, comme certains aiment à le faire croire, ne peut oser une telle demande.
Et pourtant, c’est ici au Mali, à Bamako, que se tiendra le sommet Afrique- France. Rien n’est rose nulle part. Le défi sécuritaire du fait des agissements des terroristes et autres grands bandits, s’est imposé à tous les pays du monde et ce n’est pas le nôtre qui ferait exception. Lorsqu’on s’approprie du contenu du discours du nouvel an du président de la République, on ne peut que s’enchanter de l’énormité de son souci du Mali, sa libération totale du joug narcotrafiquant, de la pauvreté, de la maladie.
Le président Keïta, le sachant mieux que quiconque, fait de cette année, l’instant de toutes les instances, de toutes les attentes. Ce n’est pas la mer à boire si, nous nous mettons tous avec lui, derrière lui, sans aucun calcul politicien, chose qui n’est pas du tout facile, dans un pays où la règle d’or, la meilleure, est le ôte- toi que je m’installe, qu’importe la manière, qu’importe les moyens. Mais, dieu aime le Mali et IBK avec.
Sory de Motti
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