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Disparition de 28 pistolets mitrailleurs au Commissariat des Armées : Des responsables militaires en consultation occulte
Publié le vendredi 13 janvier 2017  |  Nouveau Réveil
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© Autre presse par DR
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Depuis les rumeurs sur l’éminence d’une interpellation du DGA du Commissariat des Armées, le lieutenant-colonel Cheick Oumar Doumbia, suite à la disparition de 28 pistolets mitrailleurs dans le magasin d’armes, les cadres de la Direction Centrale du Commissariat des Armées –ex Intendance Militaire –ne dorment plus que d’un œil.

Pour rappel, l’affaire remonte au peloton 2014 des administrateurs à la Base 101 de Sénou. Au moment des séances de tir, la Direction du Commissariat des Armées a fait un bon pour obtenir 28 pistolets mitrailleurs. Après la formation, les 28 armes ont été enregistrées dans le registre puis transférées au poste de la Direction Centrale du Commissariat des Armées. Mais ces armes ont disparu du magasin. Comme par magie.
Selon nos sources, l’affaire a éclaté après que la Direction de la Sécurité Militaire ait constaté la disparition de 28 pistolets mitrailleurs au niveau du poste de la Direction Centrale du Commissariat des Armées.

Au moment de la disparition de ces 28 pistolets mitrailleurs, l’intérim de la Direction Centrale du Commissariat des Armées était assuré par le lieutenant-colonel Cheick Oumar Doumbia, actuellement Directeur général adjoint du Commissariat des armées. Certainement que c’est cette disparition d’armes qui a fait que le lieutenant-colonel Cheick Oumar Doumbia, n’a pas été confirmé DG du Commissariat des Armées.

Il y a sacrifice
Aujourd’hui, c’est le sauve-qui-peut, général, à la Direction Centrale du Commissariat des Armées. Soucieux de préserver leur rang –mais aussi leurs privilèges – des responsables militaires multiplient les sacrifices : lait de fourmi ou de serpent servi à grande calebasses aux mânes des ancêtres, des œufs de lion déposés au pied de la Direction Centrale du Commissariat des Armées, des bœufs noirs et blancs enterrés vivants sur le trajet des enquêteurs du Service d’Investigation Judiciaire (SIJ) de la gendarmerie du camp I, en charge du dossier… Sans compter les canaris de décoction exposés, chaque matin, à l’entrée du Commissariat des Armées.

D’autres, n’hésitent pas à jouer la carte de la hiérarchie militaire. Connus, pourtant, pour leur arrogance, ces responsables militaires ne quittent plus le salon de leur chef. De véritables rats de bureau. Leurs objectifs : l’amener à intercéder, en leur faveur, afin qu’ils restent à l’abri ou s’éternisent à leurs postes jugés juteux. Et malgré le refus du chef hiérarchique de se « mêler de choses qui ne lui regardent pas », ils persistent. Et saignent. Car, leurs sacrifices, financés à grands frais, n’ont pas donné l’effet escompté. Ne dit-on pas que, le supérieur hiérarchique au sein de la grande muette est un « albinos noirs ? » C’est-à-dire, hors de portée des « missiles » invisibles.

Jean Pierre James
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