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Réunion extraordinaire de la CEDEAO à Abidjan : l’UA représenté par son commissaire Paix et sécurité
Publié le lundi 26 mars 2012   |  Autre presse




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Le président de la Commission de l’Union africaine (UA), Jean Ping, sera représenté par le commissaire Paix et sécurité, l’Ambassadeur Ramtane Lamamra,au sommet extraordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) prévu mardi à Abidjan.

A l’invitation du président de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo, le commissaire Ramtane
Lamamra séjournera en Côte d’Ivoire jusqu’à mercredi, précise la note d’information du représentant spécial du président de la Commission de l’UA en Côte d’Ivoire.

Initié par le président en exercice de la CEDEAO, le président Alassane Ouattara, ce sommet extraordinaire sera consacré à la situation politique au Mali, marquée par un coup d’Etat perpétré jeudi par un groupe de soldats mutins contre le régime du président Amadou Toumani Touré.

Après avoir "condamné fermement" ce putsch revendiqué par le Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'Etat (CNRDRE), président par le capitaine Amadou Sanogo, la CEDEAO et l’UA se retrouveront au bord de la lagune Ebrié en vue d’adopter une position commune pour un retour rapide à l’ordre constitutionnel, à un mois de l’élection présidentielle dans ce pays.

La CEDEAO, l'Union africaine (UA) et les Nations unies ont dépêché, samedi, à Bamako une mission de contact pour exiger de la junte militaire le respect des droits humains, des libertés civiles et la restauration de la démocratie, souligne-t-on.

L'ONG International Crisis group (ICG), dans un communiqué publié lundi, a appelé les dirigeants d'Afrique de l'ouest et la communauté internationale à "prendre des mesures immédiates pour favoriser le retour à l'ordre constitutionnel au Mali".

"Les condamnations ne suffiront pas. Les putschistes sont là, la CEDEAO, l'UA et l'ONU doivent donc créer le plus rapidement possible les conditions d'un dialogue entre acteurs politiques, civils et militaires dans l'objectif de mettre en place une autorité de transition qui ne devra, en aucun cas, accorder un rôle central, ni même prépondérant, aux auteurs du coup d'Etat", fait savoir ICG dans communiqué exploité par l’Agence France presse.

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