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Commune I : le jardin d’enfant et son espace expropriés par la mairie pour construire un centre de réanimation au compte du centre de référence de Santé
Publié le lundi 23 janvier 2017  |  L’Inter de Bamako
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A peine l’investiture du maire RPM en commune I du district de Bamako qu’un des conseillers de l’Adema cède une partie du jardin d’enfants de la commune au médecin chef du Centre de santé de référence de Korofina pour y construire son centre de réanimation privé. Les Maliens ne sont plus amnésiques, c’est pourquoi le comité de gestion du jardin d’enfants s’est mis en branle pour contester la décision de la mairie.




Les jeunes conseillers cherchent à se faire élire conseillers à vie ou maire pour la vente des parcelles au détriment de l’intérêt public. L’atmosphère est très tendue à Korofina entre le comité de gestion et le médecin chef du centre de santé parce que les arguments avancés par ce dernier pour construire un centre de réanimation sont ambigus.
Quand on sait que chaque médecin veut avoir sa clinique privée ou sa pharmacie privée. Si réellement notre médecin est de bonne foi pourquoi ne pas exploiter le reste de l’arrière cour du Centre de santé de Korofina ?
Autre fait qui prouve que le futur centre de réanimation dont soutient le médecin chef sur «financement iranien» si c’est le cas c’est le ministère de la Santé qui doit s’en charger .
Vivement la réaction du ministre de la Santé !

Espace des rails en face de l’ambassade de Chine : Qui sont les propriétaires ?
Plusieurs noms de personnalités seraient cités parmi les propriétaires. Toute chose qui rend difficile la vie des menuisiers sur les espaces. Il existe les vrais-faux titres fonciers et les fausses attributions sans plan du maire central du district de Bamako. On cite les noms suivants comme propriétaires : San Zou, Kafougouna Koné, Mme Saran Traoré, Guitteye, Satigui Sidibé, Mme Nimaga, etc. Ce sont ces intouchables qui seraient les vrais problèmes des menuisiers des espaces des rails qui ne cherchent qu’à bouillir leurs marmites.

BRAMALI, sponsor du Sport au Mali : Où sont passés les 25 F CFA augmentés sur le prix de la boisson depuis la CAN 2002 à nos jours ?
Il est temps que l’Etat cherche à voir clair dans ce dossier de 25 FCFA (15 ans) qui perdure. Qui détourne ces fonds ? Vingt-cinq (25) FCFA sur chaque bouteille de boisson pendant quinze ans cela fera une grosse somme. Et le ministre des Sports n’aura pas besoin d’organiser un téléthon.

Villes du Mali : que deviendront les maisons de nos parents lorsque tous les Maliens veulent s’installer à Bamako ?
Le constat est amer, dans les villes et campagnes : les maisons de nos parents sont souvent inoccupées, ou en ruines, il n’y a personne pour l’entretenir ou y habiter. Tous les enfants fuient pour la capitale. Cela pose un problème crucial pour le devenir des maisons paternelles en campagnes et villes du Mali.

Le groupe BNP PARIBAS (BICIM) : des agences fermées au Mali
Hormis l’agence principale de la BICIM du groupe BNP PARIBAS, la banque d’un monde qui change serait sur le point de fermer ses agences à travers la capitale et à l’intérieur. Les usagers de ce groupe bancaire seraient des Franco-Maliens ou des Maliens de l’extérieur. Est-ce à dire que le communiqué conjoint signé entre le gouvernement malien et l’Union européenne (UE) serait déjà mis en exécution ?



POINT DE MIRE
La Gambie (11.295 km2)
Membre du Commonwealth britannique, elle recouvre son indépendance, le 18 février 1965. C’était une monarchie constitutionnelle.
La Gambie est le plus petit Etat africain indépendant. Il est le fruit des injustices coloniales de la fin du 19ème siècle, qui en ont fait une entité apparemment peu viable. Dépendant uniquement de sa récolte d’arachides, la Gambie semblait destinée à recourir éternellement à l’aide de la Grande-Bretagne. Depuis l’indépendance, la Gambie a mieux réussi que prévu.
En 1967, elle a été capable de se dispenser de l’aide britannique. Le résultat positif a fortifié la confiance des Gambiens en eux-mêmes. Par ailleurs, leur renoncement à la représentation coûteuse auprès de l’organisation internationale a permis de notables économies. L’avenir de ce pays semble lié à une collaboration plus étroite avec le Sénégal, dont le principe a été établi par le traité signé, en avril 1967.

SAGESSE BAMBARA
«Faire des gains, c’est être chanceux, les conserver c’est être intelligent.»
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