Ce mercredi 18 janvier 2017 à Gao, les forces du mal ont cru devoir poser un acte de démoralisation des troupes maliennes résolument engagées dans le processus de paix en phase avancée de concrétisation. Pitoyable réflexe que celui d’un narcotrafiquant qui veut se relever de l’agonie qui l’entraine vers une mort certaine. Face au Mali désormais debout comme un seul homme, cet acte n’est qu’un cheveu trempé dans la soupe.
Terrible sort donc, que celui d’un homme dont le cerveau est sous contrôle des fantasmes qui le conduisent irrémédiablement aux frasques éhontées. Son âme diabolique brulera dans le feu ici-bas et dans l’enfer à l’au-delà. Un tel destin ignoble n’a-t-il pas fini de vaincre ceux qui en sont détenteurs. Et c’est cela le triste destin de nos agresseurs, absolument foudroyés par leur élan d’accrocs à la drogue. C’est pourquoi ils peuvent rêver, mais ne peuvent jamais vaincre le Mali. Comme dit l’adage, malgré les aboiements des chiens, la caravane passe.
Peuple du Mali, tout corps produit des déchets. Ces narcotrafiquants ne sont que les déchets de notre société, des tarés qui n’ont de salut que dans la haine et la violence, destructrices de ceux qui en portent le germe. Mais qui sème le vent récolte la tempête. Nul ne peut tuer ses compatriotes voire détruire son pays et vivre dans le bonheur. L’avenir est aux dignes fils du Mali, nous vaincrons.
Mamadou DABO