Le magazine ‘‘Bamako Business & Class’’ est un produit de l’agence de communication globale ‘‘PrestaCom’’. Cette jeune agence créée en 2011 entend, à travers ce magazine, faire la promotion de l’élite malienne et faire la lumière sur les talents maliens méconnus du public.
Faire découvrir les talents ‘‘cachés’’ du Mali et contribuer à mieux les vendre, c’est le but du magazine Bamako Business & Class dont le 7ème numéro a été présenté au public au cours d’un grand cocktail le jeudi 19 janvier au siège de l’agence ‘‘PrestaCom’’.
Pour le Manager exécutif, Mme Madina Sidibé, l’ambition principale du magazine est de faire la promotion de l’élite malienne. « A travers ce magazine, nous voulons faire la promotion des jeunes talents maliens qui sont très connus sous d’autres cieux, mais méconnus du public malien ». Cette ambition est d’autant plus grande que le magazine innove pour mieux vendre les talents maliens.
« Nous voulons faire de ce magazine, le magazine Forbes du Mali », a déclaré le directeur exécutif associé de ‘‘PrestaCom’’, M. Mahamoud Kaba Diakité. Le dernier numéro qui date de janvier 2017, met en exergue la rigueur et le sérieux de l’équipe rédactionnelle à travers différentes rubriques dont l’essentiel est tournée vers la promotion de l’élite malienne. La ‘‘Une’’ du 7ème numéro est occupée par le promoteur de la société ‘‘Klédu’’, M. Mamadou Sinsy Coulibaly, non moins Président du Conseil National du Patronat du Mali (CNPM).
La présentation du 7ème numéro a enregistré la présence de plusieurs personnalités comme M. Mamadou Sinsy Coulibaly, Amadou Thiam, député de l’Assemblée Nationale, un représentant du Ministère en charge de la promotion de l’investissement et bien d’autres venant du monde entrepreneurial.
Le propriétaire de l’empire Klédu, Mamadou Sinsy Coulibaly, a prodigué des conseils au directoire de l’agence PrestaCom. « Le numérique est l’avenir de la communication. Il faut aller vers le virtuel qui permet de réaliser beaucoup de choses. Vous ne pouvez pas exceller dans tout. Il faut aller aussi vers la sous-traitance. Personne ne viendra faire le développement du Mali, c’est vous les jeunes qui le feront », a conseillé le doyen Coulibaly.