suite à l’attaque du camp d’Aguel-Hoc, dans la région de Kidal. Les premiers éléments de l’enquête révèlent « la responsabilité du groupe terroriste AQMI, appuyé par les ex- rebelles du MNLA ». Cinq après le massacre, et malgré les mandats d’arrêt, l’enquête piétine et les familles des victimes réclament « justice ».