Après les infrastructures routières construites partout à travers la ville notamment l’échangeur au carrefour de Markala, les 10 kilomètres de voirie à Ségou et 7 km à travers Pélengana vers la sortie de la ville, viennent s’ajouter de nouveaux moyens de transport urbain à Ségou.
Abdoul Kader Tessougué, opérateur économique de son état, vient de doter les communes de Ségou, Sébougou et de Pélengana de moyens de transport ultramodernes. Il s’agit de 4 taxis bus écologiques de 12 places. La cérémonie de mise en circulation de ses engins s’est déroulée ce samedi à la mairie de la Commune urbaine de Ségou.
La rencontre était présidée par le sous-préfet de Ségou, Abou Daou.
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FESTIVAL SUR LE NIGER : Les assurances de Mamou Daffé
Ségou vibrera du 1er au 5 février au rythma de la 13e édition du Festival sur le Niger. La direction du festival a tenu ce samedi une conférence de presse sur les préparatifs.
“Nous, notre fierté, c’est le Festival sur le Niger”. C’est en ces termes que le nouveau maire de la Commune urbaine de Ségou, Nouhoum Diarra, a introduit la rencontre. Et d’ajouter que c’est un honneur pour Ségou de voir le Festival sur le Niger dans la durée. Grâce au festival, Ségou est considéré comme l’une des capitales de la culture africaine.
Mamou Daffé, le directeur du Festival sur le Niger, après avoir présenté le thème de l’édition 2017 intitulé : “Jeunesse africaine et le défi du numérique”, a fait le point des préparatifs. 120 stands sont déjà installés à la Foire internationale de Ségou au bord du fleuve. Les autorités sont à pied-œuvre pour garantir la sécurité des festivaliers.
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SELINGUE : Des jeunes de Dalabala et Kangaré se bagarrent pour un site d’orpaillage
A cause d’”un filon d’or”, deux quartiers de Sélingué, Dalabala et Kangaré, se sont violemment affrontés récemment. Minamba Doumbia, ancien maire, serait à la base de l’agitation.
Les deux quartiers se disputent la paternité de ce site d’orpaillage, situé à quelques kilomètres de Sélingué. Cette agitation survient après la découverte de l’or dans un champ, situé non loin d’un premier site à Kangaré, mais qui appartient au quartier de Dalabala.
Selon nos informations, le lopin de terre appartenant au dernier quartier cité est en voie d’être exploré par les orpailleurs au nom de Kangaré. Les orpailleurs qui exploitent le site, s’acquittent des frais d’exploitation aux propriétaires terriens. Le quartier de Kangaré prenait ses frais de “location” en lieu et place de Dalabala. Une situation qui a agité Dalabala et qui a posé son refus catégorique d’explorer sa terre sans son aval.
Dépassé de cette prise de position, un ancien maire aurait incité les jeunes de Kangaré à la violence. Il a fallu l’intervention des forces de l’ordre pour éviter l’irréparable.
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