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Droit à l’image : Le DGA de la police menace “Le Nouveau Réveil”
Publié le lundi 30 janvier 2017  |  L’Indicateur Renouveau
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La police est-elle en train de régler ses comptes avec la presse ? On a tendance à le croire si l’on s’en réfère aux propos du directeur général adjoint de la police, le commissaire divisionnaire Mamadou Z. Sidibé.

En conférence de presse ce samedi à la direction nationale de la police, le DGA s’est plaint d’un journal de la place dénommé “Le Nouveau Réveil”, qui “a franchi le Rubicon”.

Le limier en chef adjoint accuse notre confrère d’avoir imité son écriture et sa signature pour illustrer un article dont les informations ne sont pas fondées. A en croire le commissaire divisionnaire, le journal ne le lâche plus depuis avril 2016 avec des titres choquants comme : “Le DGA de la police au cœur d’un scandale”, dans lequel on l’accuse d’avoir créé un syndicat à la police.

Un autre article, intitulé : “Le DGA empêche les éléments du CICR de faire correctement leur travail avec des facilités de circuler” l’accuse d’octroyer des cartes et autres facilités à des usagers triés sur le volet.

Un troisième article est illustré par sa carte de visite. Mais, la goutte d’eau qui a débordé la vase est le quatrième article du journal dans lequel son écriture et sa signature sont imités. Les informations, selon le conférencier, n’ont pas de fondement.

D’où la colère du commissaire contre le journal, mais surtout contre l’auteur des articles qui “n’a jamais recoupé les informations”. Pour Mamadou Z. Sidibé, il s’agit “d’une cabale de mes détracteurs pour ternir mon image à travers cet organe”.

Il affirme que le journal veut salir son honneur, ce qu’il n’acceptera jamais. Car, dit-il, ceux qui s’agitent et s’attaquent à lui “sont contre la réforme et l’assainissement à la police”.

Le journal et l’auteur des articles sont désormais dans le collimateur du bouillant DGA. “En cas de délit, qu’on ne parle pas de délit de presse, mais plutôt de délit de droit commun, car les faits sont suffisamment graves”.

Zou
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