Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Insécurité dans le sahel : IBK sonne la motivation
Publié le lundi 6 fevrier 2017  |  Le Débat
Lancement
© aBamako.com
Lancement des festivités du centenaire du Président Modibo Keita
Bamako, le 11 juin 2015, le CICB a abrité la cérémonie de lancement des festivités du centenaire du Président Modibo Keita, c`était sous la Haute présidence de SEM, Ibrahim Boubacar KEITA
Comment


A la faveur du 3e sommet extraordinaire des pays du G5 sahel, le Chef de l’Etat, Ibrahima Boubacar Kéita entend sonner la mobilisation contre l’insécurité.

Le 3e sommet du G5 Sahel qui se déroule cette année à Bamako aura pour principal sujet à l’ordre du jour : «La situation sécuritaire au Mali et son impact dans le Sahel».



Pour ce rendez-vous de Bamako, le président IBK aura à ses côtés quatre Chefs d’Etat de la région sahélienne : Marc Rock Christian Kaboré du Burkina Faso, Mohamed Ould Abdel Aziz de la Mauritanie, Mahamadou Issoufou du Niger et Idriss Deby Itno du Tchad.

A travers cette tribune, la gestion de l’insécurité dans les pays de la bande sahélo-saharienne, particulièrement le Mali fera l’objet de débats et de propositions de solutions.

Le dénominateur commun de ces pays reste l’insécurité liée à la prolifération des groupes narcoterroristes qui défient les pays de la zone sahélienne. Une zone que les forces obscures ambitionnent de transformer en un véritable sanctuaire du terrorisme.

Pour circonscrire le mal et préserver l’espace commun, la rencontre extraordinaire convoquée par IBK trouve toute son explication. Et avec ses paires, il sera question d’engager un processus d’identification et de mise en place des actions concrètes. Des actions de terrain permettant de relever un certain nombre de défis.

La réussite de cet objectif demande le renforcement de la paix et de la sécurité ; le développement durable dans les zones à faible densité humaine ; la sécurité alimentaire et du pastoralisme ; le développement des infrastructures (transport, énergie, hydraulique, télécommunications) ; de la lutte contre les changements climatiques et pour la gestion de l’eau ; de la prise en compte du défi démographique et des questions de santé ; de l’effectivité de la présence de l’Etat et du renforcement de la décentralisation. Le Sommet sera sanctionné par un communiqué final.

Drissa Tiéné

Commentaires