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Démission collective au CBME-Mauritanie : HCME se vide au profit CSDM
Publié le mercredi 22 fevrier 2017  |  L’Indicateur Renouveau
Conférence
© aBamako.com par momo
Conférence de presse de HCME
Bamako, le 20 aout 2015 Habib Sylla a animé une conférence de presse sur l’élection du HCME au Radisson
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Démissionnaires depuis le 27 janvier 2017, des membres du bureau du Conseil de base des Maliens de l’extérieur (CBME-Mauritanie) structure du Haut conseil des Maliens de l’extérieur viennent d’adhérer au Conseil supérieur de la diaspora malienne (CSDM).

Dans une correspondance en date du 27 janvier 2017, adressée au président du bureau du Conseil de base des Maliens de l’extérieur (CBME-Mauritanie/HCME), Boubacar Sidiki Traoré, Boukhadary Thienta, Yacouba Sidibé, Lassana Kondo, Haby Traoré, Mory Bernard Kamissoko et Mamadou Diakité font part de leur démission. Ils accusent le Haut conseil de les abandonner.



Joint à Nouakchott, Boubacar Sidiki Traoré, chef de file des démissionnaires et président du bureau du Conseil supérieur de la diaspora malienne (CSDM) en Mauritanie, est clair : “Nous n’avons pas été assistés par le président du Haut conseil des Maliens de l’extérieur. Au départ, lors du premier mandat de l’ancien président, Amadou Toumani Touré, tout allait bien. C’est au 2e mandat que les problèmes ont commencé, car ils ont politisé la chose”.

Et de poursuivre : “L’objectif de notre mission est de venir en aide à nos compatriotes en cas de problème, de les assister. Le grand problème qui se pose aux Maliens de la Mauritanie est celui de la carte de séjour. Depuis l’instauration de cette carte, le président du Haut conseil malien des Maliens de l’extérieur n’est pas venu nous voir, même une seule fois alors que le Mali et la Mauritanie sont des pays frontaliers. Nous savons que lui seul ne pas régler ces problèmes, mais la moindre des choses était de venir nous voir afin de savoir de quoi nous souffrons”.

Au secrétariat permanent du Haut conseil des Maliens de l’extérieur à Bamako, nous avons eu du mal à avoir un interlocuteur sur le sujet. “Il y a une personne chargée de ces questions. Elle n’est pas là pour le moment. Je connais les journalistes, il ne faut pas me faire mentir, appelé demain sur le même numéro”, nous a-t-on signifié en guise de fin de non-recevoir.

O.D.

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