Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article
Société

Badra Aliou SIDIBE : Un transfuge de l’Adema au RPM pour éviter la prison ?
Publié le lundi 27 fevrier 2017  |  Le Pays
Comment


Connaissant bien Badra Aliou Sidibé qui défendait gaillardement Timbiné et le parti présidentiel RPM, les auditeurs de l’émission contradictoire de la radio Kledu du jeudi 23 février 2017 dans leur coup de file lui ont posé des questions sur son parcours politique. Badra n’a adhéré au RPM que le 15 août 2016. Pourquoi avoir attendu jusqu’à ce que le RPM arrive au pouvoir pour y adhérer ? Pourquoi avoir quitté l’Adema un parti sous la bannière duquel il a eu tout ? Telles sont les principales questions qui taraudent les esprits des auditeurs de l’émission du débat contradictoire de la radio Kledu.
Il est très important de faire un aperçu sur le parcours politique de Badra Aliou Sidibé. C’est un jeune avec des ambitions démesurées et sa mauvaise gestion de la Mairie de la commune I du District de Bamako est sur toutes les lèvres. Selon les indiscrétions, l’homme traine des casseroles dernière lui, raison pour laquelle il a posé ses valises au sein du parti présidentiel, le RPM.
Eh oui ! Badara Aliou Sidibé est un jeune politicien qui est prêt à tout pour atteindre son objectif, même vendre son âme au diable. Il a fait ses preuves dans le mauvais sens en tant que conseiller municipal à la mairie de la commune I du District de Bamako. Elu très jeune comme conseiller municipal lors de l’élection communale de 2009 sous les couleurs de l’ADEMA PASJ, il ne tarde pas à se faire remarquer dans la commune par ses actes désastreux et maléfiques contre le développement de la Commune I.
Entré en politique très jeune, Badara Aliou Sidibé a fait ses premiers pas à l’UFD (Union des Forces Démocratiques) de Me Demba Diallo en 1996. Bon que pour changer de veste, il adhère à l’ADES (Alliance pour le développement économique et social) en 1997. Communément appelé BAD (qui signifie mauvais en Anglais), il échoue aux élections municipales de 1998.
Nous reviendrons plus en détails dans notre prochaine parution sur sa gestion catastrophique et chaotique de la Mairie de la Commune I.
Agmour
Commentaires