En poste à l’Ambassade du Mali en Cote d’Ivoire depuis 2010, Monsieur Amadou Tamboura est bientôt au terme de sa mission à l’Ambassade du Mali en Cote d’Ivoire en qualité de Conseiller Consulaire. Pour l’immense service rendu au Mali et à son pays d’accueil, hommage lui a été rendu le lundi 27Février 2017 par les Autorités Ivoiriennes qui n’ont pas tari d’éloge en son égard. Elles lui ont décerné la médaille de Chevalier de l’Ordre National de Cote d’Ivoire.
Cette belle cérémonie de décoration a eu pour cadre le cabinet du Ministre auprès du Président de la République, chargé de la Défense de Cote d’Ivoire. Notre compatriote était entouré pour l’occasion de Son Excellence Monsieur l’Ambassadeur du Mali en République de Cote d’Ivoire Ousmane Ag Rhissa, de Monsieur Missa Traoré, Consul Général du Mali à Abidjan et de tout le personnel diplomatique de l’Ambassade du Malien Cote d’Ivoire.
En plus du personnel diplomatique et consulaire largement représenté, plusieurs amis et connaissances ont également fait le déplacement pour soutenir ce grand patriote qui a
Au terme de sa mission à l’Ambassade du Mali à Abidjan en qualité de conseiller consulaire Mr. Amadou Tamboura, a été honoré par la république de la Côte d’Ivoire qui lui a décerné Chevalier de l’ordre national .
La cérémonie a eu lieu au cabinet du ministre auprès du président de la république chargé de la défense.
Cette cérémonie a eu lieu le lundi 27 Février 2017 en présence de l’Ambassadeur SEM. Ousmane Ag Rhissa , du Consul général du Mali à Abidjan, du personnel diplomatique et consulaire.
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Négocier avec les Jihadistes maliens ou mener une guerre implacable ?
La réunification d’organisations jihadistes (Aqmi, Ansar Dine Katiba Macina et Almourabitoune) autour du Malien Iyad Ag Ghaly interpelle au-delà des autorités maliennes, l’ensemble des Etats du G5, sur le triple plan de l’accélération, de la méthode et des moyens à mettre en œuvre pour la sécurité de leurs peuples.
Cette annonce par des djihadistes est-elle une réaction, au projet de mise en place d’une force conjointe par les pays membres du G5 Sahel (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad) ou au démarrage du MOC malgré l’attentat du 18 janvier à Gao ?
Il appartient aux autorités maliennes d’être promptes dans les prises de décisions et dans l’action : négocier avec les djihadistes maliens, si cela n’est pas trop tard (parce que faisant déjà cause commune avec Aqmi) ou les affronter dans une guerre implacable, si nous en avons les moyens humain et matériel.