« Le contrôle et la surveillance (des structures de micro finance au Mali) porte sur tous les aspects touchant à l’organisation et au fonctionnement de ces institution ns et des organes financiers… »
Mais, dans la réalité, le contrôle de l’Etat, se fait toujours attendre ; ou en tout cas, n’est pas à hauteur de souhait.
C’est ainsi qu’au niveau de certaines caisses, la pratique des crédits fictifs, des dépenses d’investissement engagées sur les fonds des adhérents et autres malversations conduisent ces institutions dans le gouffre.
Conséquence : des cessations de payement, dont le risque est fort élevé dans ce secteur.
En outre, dans nombre de ces structures de micro finance, une concurrence malsaine et déloyale est menée grâce à des taux d’intérêts plus ou moins élevés, visant seulement à attirer la clientèle d’autres caisses.
Ainsi, dans le secteur de la micro finance de notre pays, c’est la loi de la jungle qui prévaut. Cela, sans que l’Etat n’arrive à y mettre de l’ordre.
Centre national de transfusion sanguine
De graves accusations
Des informations qui nous sont parvenues signalent, que le Centre national de transfusion sanguine aurait mis à la disposition de malades et d’accidentés de la route des poches de sang non analysé.
On parle déjà d’une victime dont les proches auraient porté plainte contre la structure.
Vie chère au Mali
L’association des consommateurs corrompue ?
Selon des sources dignes de foi, certains responsables de l’association des consommateurs du Mali auraient été ‘’achetés’’ par de grands commerçants importateurs de produits de première nécessité. Ce qui expliquerait présentement leur silence face à la vie chère au Mali.
Office des Produits agricoles du Mali ‘OPAM)
Le code des marchés publics ignoré
L’OPAM, ne respecterait plus les dispositions du code des marchés publics pour ses achats et ventes de céréales. En plus, les achats et les ventes de céréales par l’OPAM s’effectueraient en dehors du circuit des marchés publics.