Le thème « état des lieux, stratégies de gestion durables et changements climatiques » au cœur d’un atelier national sur le fleuve Niger organisé le RPM

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Publié le lundi 13 mars 2017 | Infosept

© aBamako.com par Androuicha
Atelier de renforcement des capacités des cadres du RPM
Bamako, le 10 janvier 2017. Le Rassemblement Pour le Mali (RPM) a ouvert dans la salle de conférence du Conseil National du Patronat un atelier dit de renforcement des capacités des membres de son Bureau Politique National.

Le Bureau politique du Rassemblement pour le Mali, RPM, en partenariat avec l’Agence du Bassin du Fleuve Niger, ABFN, a organisé le samedi 11 mars 2017 au CNPM un «atelier national sur le fleuve Niger : état des lieux, stratégies de gestion durable face aux activités humaines et aux changements climatiques ». Présidée par Nancouma Keita du bureau politique national du RPM, la rencontre s’est ouverte en présence d’autres responsables du parti et de nombreux militants.

L’objectif visé par cet atelier était de contribuer à la définition et au partage d’une stratégie politique de protection de l’environnement dans une perspective de développement durable. Il s’agissait, à travers cette rencontre, de créer un espace d’information, de sensibilisation, de partage et de propositions pertinentes avec les cadres et militants du RPM, les universitaires, d’autres acteurs de la classe politique, des PTF et de la société civile intéressées par les questions de sauvegarde environnementale, économique et sociale du fleuve Niger.

La rencontre a permis aussi à la centaine de participants de s’approprier des documents cades et plans nationaux relatifs à la sauvegarde du fleuve, comme le programme national de sauvegarde du fleuve Niger. Il y a eu également des débats sur les accords et traités internationaux ratifiés par le Mali dans le domaine de l’environnement et sur les initiatives africaines et maliennes en cours pour la sauvegarde de ce patrimoine qu’est le fleuve Niger. Il importe de souligner que depuis quelques années, le fleuve Niger n’arrive plus à assurer efficacement sa fonction d’autoépuration et à fournir les services écosystèmes. D’où la nécessité d’actions en sa faveur pour sa sauvegarde.

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