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FOCUS: Décès du général Kafougouna Koné : ATT doit venir rendre hommage à son officier félon
Publié le lundi 13 mars 2017  |  L’Inter de Bamako
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© Autre presse
Ex président du Mali, Amadou Toumani Touré
Renversé le 22 mars par la junte militaire l`Ex président du Mali, Amadou Toumani Touré
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C’est l’occasion toute trouvée pour cet autre général fuyard en exil au Sénégal de revenir au pays à un moment où ses inconditionnels battent le pavé pour son retour. Nos confrères de Bozola qualifient le général Kafougouna Koné d’officier de référence ? Référence, chef militaire pendant la guerre Mali-Burkina, en 1985, un char malien a été pris par les militaires Burkinabés.
Référence pour avoir signé le premier accord d’Alger en 2006 qui met notre sous tutelle algérienne avec à la clé plein pouvoir aux rebelles indépendantistes. Ces deux généraux (ATT et Kafougouna) ne sont pas des références d’officiers au Mali. Le Mali regrette et pleure toujours la mort des officiers Siaka Koné, Lamine Diabira, etc.

Gouvernement : un remaniement ministériel n’est pas la solution à la crise malienne
Un remaniement ministériel n’est pas la solution à la crise malienne. Le changement des hommes n’apportera rien à la crise politique qui secoue notre pays. Comme dit le sage : «lorsque le bras a failli ont puni la tête». Si la tête a failli à qui faut-il s’en prendre ?
Le candidat IBK, qui était la solution, en juillet 2013, serait aujourd’hui le problème de cette crise qui a pris des proportions grandissantes malgré la signature de l’accord d’Alger 2015 par le président de la République sans consulter le peuple qui l’a plébiscité. Interloqué par les actes posés du président de la République, le peuple attend impatiemment la fin de son mandat pour choisir un nouveau médecin.

Primature: une femme pressentie Première ministre
Vrai ou faux ? Selon les murmures de Bamako une femme serait nommée Première ministre du prochain gouvernement en «République Islamique du Mali» d’IBK. Le plein pouvoir dit-on confié à une femme en Afrique démontre l’incapacité du chef. Le président IBK doit tirer les leçons de la première Premier ministre nommée par ATT et celle de Macky Sall.
En Afrique, le plein pouvoir est toujours confié aux hommes, parce que les femmes ne peuvent pas garder un secret. Dans le Mandé, on dit à propos de la femme : «Aime ta femme, mais jamais ne lui confie les secrets d’Etat. Méfie-toi des femmes, parce que derrière l’ascension de chaque grand homme, il y a l’amour aveugle d’une femme et derrière la chute de chaque grand homme il y a la haine terrible d’une femme».

Kati: un ancien préfet responsable d’une grande magouille foncière se retrouve sage à la Cour Constitutionnelle
Le cercle de Kati est le bled d’une honteuse spéculation foncière émanant de cadres véreux de certains partis politiques. C’est la localité la plus affectée par la spéculation foncière. Le début de cette grande magouille date de 1992. Le préfet de l’époque a régné sur les terres comme si c’était son patrimoine paternel.
Peur d’être rattrapé par la justice, il milite à l’Adema et troque le casque de commandement contre l’écharpe de député, en 1997, dans la circonscription électorale de Kita. IBK, élu président de l’Assemblée nationale, l’ancien député et préfet de Kati est nommé directeur de cabinet.
Bénéficiant de la protection de deux partis politiques (ADEMA-RPM), l’ex-préfet est actuellement l’un des représentants du chef de l’Etat à la Cour Constitutionnelle. Avant d’occuper ce poste, il fut directeur de cabinet du président IBK.

LBAD: Mamadou Doumbia, l’un des agresseurs du gardien déféré à la prison centrale de BKO
Défiant tout le monde et se croyant au dessus de la loi, Mamadou Doumbia, le cerveau de l’agression du vigile du lycée Ba Amina Diallo, a appris à ses dépens. Depuis quelques jours, il croupit à la Maison centrale d’arrêt de Bamako (MCA), où il médite sur son sort en attendant son jugement.
L’administration scolaire de l’ancien lycée de jeunes filles a voulu par cet acte préserver l’espace scolaire de la violence. Elle ne doute pas que cet exemple servira de leçon à d’autres qui pensent que l’école est le lieu de règlements de compte. Si c’est vrai que nous voulons une école apaisée et performante, tous les acteurs de notre système éducatif doivent s’investir pour à notre école ses lettres de noblesse.

LBAD : célébration de la journée du 8 mars, la SS3 se classe première au concours culinaire
Le lycée Ba Aminata Diallo (LBAD) n’est pas resté en marge des festivités marquant la journée internationale du 8 mars qui célèbre les femmes. Il a donné un cachet particulier à cette journée par l’organisation des activités culturelles et sportives. Elles resteront longtemps inscrites en lettres d’or dans les annales de ce lycée. Un coup d’essai, un coup de maître.
La direction, le corps professoral et les élèves ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour que cette première édition soit gravée dans les mémoires. Un concours culinaire a été organisé entre les trente deux (32) classes que compte le LBAD.
Le jury de dégustation, présidé par l’un des doyens de l’établissement, Mamadou Sangaré dit Beken, après avoir apprécié les plats, a déclaré la SS3 première du concours culinaire. Elle avait préparé le couscous. Les deuxième et troisième places ont été respectivement occupées par la 10 C9 (to) et la TLL1 (tcheb-diène).
L’après midi a été marqué par des manifestations culturelle et sportive. Un match de basketball a opposé les élèves et le corps professoral (féminin). Il s’est soldé par la victoire des professeurs. Un match de football (féminin) mettant aux prises les 10ème et 11ème et les classes de terminales.
Il a vu la victoire de la sélection des 10ème et 11ème années. Ces activités ont été organisées par la direction du LBAD et le corps professoral. Ils comptaient par cette première édition apporter sa touche à la journée des femmes compte tenu du caractère féminin du lycée.
Vivement la deuxième édition !
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