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IBK reste le Président qu’il faut dans un contexte de crises multiformes jamais connues par notre pays et mérite l’accompagnement sincère de tous les maliens
Publié le jeudi 23 mars 2017  |  Nouveau Réveil
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© AFP par STEPHANE DE SAKUTIN
La Visite du Président Ibrahim Boubacar Keita à Paris
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Le pouvoir d’IBK a incontestablement enregistré certains succès et possède certains atouts importants faiblement exploités. Certains de ces atouts très considérables sont porteurs d’espoirs dans un contexte difficile. Décidément, l’État malien a pu se maintenir dans un contexte très difficile.
On peut ne pas aimer le lièvre pour ses longues oreilles et sa petite queue. Mais l’honnêteté intellectuelle voudrait qu’on reconnaisse que le lièvre court vite. Tout comme le lièvre, le régime IBK court vite. Très vite. Depuis son arrivée au pouvoir, force est de reconnaître que le président IBK a fait du chemin. Mais aussi mérité ses galons. Cela s’est prouvé par la stabilité et le fonctionnement normal des institutions et du gouvernement ; le paiement régulier des salaires et des pensions ; la tenue des élections municipales et la cessation des hostilités au Nord. S’y ajoute, l’augmentation des salaires des fonctionnaires et des allocations familiales qui sont passé de 1 500 à 3 500 FCFA par enfant.
La signature de l’accord de paix issu du processus d’Alger
La signature et la mise en œuvre de l’accord malgré certaines difficultés rencontrées est une base solide pour l’unité, la paix et la réconciliation ainsi que la réforme de l’état, le respect de l’Unité nationale, de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de l’État du Mali, ainsi que de sa forme républicaine et son caractère laïc.
Cet Accord vise à créer les conditions d’une paix juste et durable au Mali, contribuant à la stabilité sous régionale, ainsi qu’à la sécurité internationale. Il consacre solennellement le règlement concerté du conflit sur la base des éléments suivants :
Article 2 : les parties s’engagent à mettre en œuvre, intégralement et de bonne foi, les dispositions du présent Accord en reconnaissant leur responsabilité première à cet égard.
Les performances croissantes des services de renseignement du Mali
Malgré des moyens insuffisants, les services de renseignements enregistrent des résultats excellentsdans le cadre de la lutte contre le terrorisme, le contre-terrorisme le crime organisé, l’appui constant à la Gouvernance sécuritaire et le développement des partenariats avec les amis du Mali, le pire a été éviter jusque là grâce à leur vigilance et leur professionnalisme. La DGSE grâce à la personnalité et au leadership de son tout puissant Directeur Général, le Général Moussa Diawara accomplit avec efficacité, efficience et professionnalismesa mission de protection des institutions de la République du Mali, notamment par la surveillance de toutes les activités qui s’y déroulent et par la collecte de tous les renseignements sur la vie politique, économique et sociale, culturelle, militaire et scientifique du pays.
La mise à niveau des forces de défense et de sécurité en engrangeant certains succès sur le terrain dans le cadre de la sécurisation et de la lutte contre le terrorisme ;
L’amélioration des conditions de vie des forces de défense et de sécurité, les formations et stages militaires, la logistique et les équipements acquis à travers la loi de programmation militaire sont des éléments tangibles. Cette Loi d’Orientation et de programmation militaire initié par le Président de la République pour la période 2015-2019 nécessite un investissement de 1.230.563.972.349 de F CFA.
L’amélioration des services sociaux de base (Eau, Santé, électricité) en faveur des populations défavorisées surtout dans le Nord du Mali ;
Les nombreux efforts fournis par le Mali et ses partenaires pour améliorer les services sociaux de base malgré des conditions de sécurité très difficile dans certaines zones. Egalement les subventions et les investissements consentis par le Gouvernement en faveur de ces secteurs.
L’insertion progressive de certains jeunes dans le tissu économique (création d’emploi) ;
Malgré les nombreuses contraintes à l’insertion des jeunes et des femmes, le Gouvernement déploie de nombreux efforts en vue de pallier au problème crucial de l’emploi. En plus des services du Ministère de l’emploi et de la formation professionnelle (ANPE et APEJ), il y a beaucoup de projets et programmes qui travaillent à la création d’emplois.En témoigne, le PROCEJ, le FIER etc…
L’amélioration du cadre des affaires et du cadre macroéconomique (bonne relation avec les partenaires techniques et financiers) ;
L’adoption du Cadre Stratégique pour la Relance Economique et le Développement Durable (CREEDD 2016-2018) dans la perspective de doter notre pays d’un document unique qui sert, pour toutes les parties prenantes de cadre intégrateur des politiques sectorielles et des stratégies régionales et locales. L’objectif global du CREDD 2016-2018 est de promouvoir un développement inclusif et durable en faveur de la réduction de la pauvreté et des inégalités dans un Mali uni et apaisé, en se fondant sur les potentialités et les capacités de résilience en vue d’atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD) à l’horizon 2030. Le cadrage macroéconomique qui se base sur des hypothèses du scénario optimiste, aboutit à un taux de croissance moyen du PIB de 6,4% sur la période 2016-2018 contre 3,0% réalisé entre 2012 et 2014. Cet objectif de croissance économique s’appuie sur des hypothèses volontaristes, notamment la poursuite de la stratégie de valorisation du potentiel agro-pastoral, le renforcement du programme d’investissement en infrastructures de base, la promotion du secteur privé et l’investissement dans les ressources humaines.
Sur la base des prévisions des budgets-programmes, une estimation des allocations budgétaires a été formulée par axe, domaine prioritaire et objectif spécifique. Au total sur la période, un montant de 3 440 milliards de FCFA de crédits budgétaires est prévu pour contribuer à l’atteinte des objectifs fixés.
La mobilisation des ressources budgétaires (fiscales et non-fiscales) prévues et l’amélioration de la qualité des dépenses publiques sont nécessaires mais pas suffisantes pour espérer atteindre les objectifs fixés. Pour le secteur de la microfinance, le Gouvernement est en train de Construire à l’horizon 2025 également un secteur de la microfinance professionnel qui contribue efficacement à la lutte contre la pauvreté grâce aux services offerts par des SFD majeurs viables et intégrés au système financier global
Le développement de la coopération bilatérale et multilatérale
L’Augmentation des dons et prêts en faveur du Mali et des accords de coopération et de partenariats dans les domaines de la sécurité, du développement économique et de la résilience en faveur des couches et zones défavorisées constituent des preuves de développement des partenariats bilatéraux et multilatéraux.
La réalisation d’infrastructures (logements sociaux, routes etc…) ;
Conformément au programme du président de la République, le Gouvernement a entamé un grand programme de réalisation des infrastructures de développement des logements sociaux et des routes dans les zones accessibles etc…
Le développement de l’agriculture
L’augmentation du budget de l’agriculture de 15 % à la demande du Président de la République est un témoignage réel de la volonté politique de booster ce secteur qui occupe plus du tiers du PIB au Mali). Egalement, l’augmentation de la production céréalière et du coton en témoigne davantage.
Le président de la République mérite d’être accompagner avec foi, loyauté et sincérité pour l’unité du Mali, la paix, la réconciliation et la prospérité afin de sauver le Mali dans un contexte très difficile. Il faut une prise de conscience réelle de l’ensemble du peuple Malien des enjeux et des défis immenses auxquels le pays est confronté à tous les niveaux et dans toutes les composantes de la nation. Il faut penser à l’intérêt collectif d’abord. IBK Ko Tè , Maliko de do, Awo, odo.
Citoyen COH
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