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La presse malienne en deuil: Ibrahim Famakan Coulibaly, fervent défenseur de la liberté de presse, s’en est allé
Publié le lundi 3 avril 2017  |  L’Inter de Bamako
Les
© aBamako.com par A S
Les funérailles d`Ibrahim Famakan Coulibaly
Les funérailles d`Ibrahim Famakan Coulibaly ont eu lieu le 31 Mars 2017.
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Arraché à notre affection mercredi 28 mars 2017, notre confrère Ibrahim Famagan Coulibaly a été hunimé, le vendredi 30 mars 2017, au cimetière de Hamdallaye. Il a été élevé au grade de Chevalier de l’Ordre national à titre posthume au nom du président de la République Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) par le ministre des Mines Tiémoko Sangaré.
Journaliste à l’ORTM, Ibrahim Famakan Coulibaly, avant son rappel à Dieu, était chargé de mission au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Auparavant, il fut chargé de communication à la Médiature et conseiller technique à la primature pendant la courte transition de 2012.
Il a assuré la présidence de l’Union nationale des journalistes du Mali (UNAJOM), entre 2003 et 2017, de l’Union des journalistes de l’Afrique de l’Ouest (UJAO) entre 2002- 2010.
Dans un témoignage émouvant, Fakara Faïnké, journaliste au quotidien «Le Républicain», au nom de la presse malienne, a résumé la vie du doyen Ibrahim FamaKan en ces trois mots : «homme de cœur, de paix et de réconciliation». Ces propos viennent d’un homme qui a été durant vingt-cinq ans un compagnon fidèle du défunt.
Fervent défenseur de la liberté de presse, Ibrahim Famakan Coulibaly fut de tous les combats. Il a été l’un des rares journalistes d’Etat qui ont intégré et porté au cœur la presse privée malienne, et cela sans discrimination aucune. Le doyen traitait tous les journalistes sur le même pied.
En cette douloureuse occasion, la rédaction du journal «L’Inter de Bamako» présente ses condoléances les plus attristées à sa famille durement éplorée ainsi qu’à la presse publique et privée du Mali.
Doyen, votre œuvre restera gravée en lettres d’or dans les annales de la presse écrite et parlée en République du Mali.
Dors en paix doyen !
La rédaction
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