Sans vouloir tourner autour du pot, mon cousin adoré est sourd comme un pot. Pas désormais pour son parti, aux attentes duquel il s’était montré sourd. Et je suis presque sûr, qu’avec son 4ème Premier ministre en trois ans et quelques mois, mon cousin adoré nous fera un pot-pourri. Lequel ne pourra nous servir qu’un pot-bouille. Comme s’en plaignait un frère Khasonké, «ici, les aliments ne sont guère variés».
Pour découvrir le pot aux roses, persuadez-vous que pour mériter d’être au banquet de mon cousin, et donc manger à la fortune du pot (de mon cousin), il vous faut appartenir à sa «famille d’abord». S’y ajouteront un pot-de-vinier et un autre pot de colle. Et peut-être ceux qui ont du pot.
Si vous voulez manger le pot-au-feu de mon cousin, en deux coups de cuillère à pot, et prendre ensuite un pot avec lui, vous manquez tout simplement de pot. Je n’aimerais pas être à pot et à rôt chez mon cousin, encore moins à votre place. Je le sais, je viens de vous gaver d’expressions familières ; veuillez excuser la pauvreté singulière de mon vocabulaire. Tout est une question de pot, n’est-ce pas cousin adoré !