Les journalistes maliens ont décidé, lundi, de lancer une opération «presse morte» à compter de ce mardi 12 mars, jusqu’à la libération de leur confrère, Boukary Daou, du quotidien Le Républicain, arrêté pour avoir diffusé une lettre ouverte attribuée à un militaire. En visite à Nouakchott, le président malien par intérim, Dioncounda Traoré, a pour sa part affirmé que le journaliste a «dépassé la liberté de la presse» en publiant cette lettre qui, selon lui, incite les soldats à quitter le front.... suite de l'article sur RFI