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Fermeture prochaine de 47 radios privées: La HAC a-t-elle les moyens de sa politique?
Publié le jeudi 20 avril 2017  |  La Lettre du Peuple
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© aBamako.com par Momo
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Fermeture prochaine de 47 radios privées: La HAC a-t-elle les moyens de sa politique?
Par La Lettre du Peuple - Date: il ya 8 heures 40 minutes

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Fermeture prochaine de 47 radios privées: La HAC a-t-elle les moyens de sa politique?
La Haute Autorité de la Communication (HAC), présidée par le magistrat Fodié Touré, vient de tenir les travaux de sa Première session. Si l’objectif de cette première session était de capitaliser les acquis en vue de permettre à la HAC de renforcer sa capacité et de multiplier ses interventions sur le terrain et de régler les situations litigeuses, force est aussi de reconnaitre que de mesures rigoureuses ont été prises pour les radios privées irrégulières.




Depuis le mois de mars passé une opération de retrait de services c'est-à-dire de fermeture de radios a été entamée par la HAC. Pour le Touré: « D’ici à la fin des travaux de la pressente session, quarante-sept (47) radios privées auront reçues leurs décisions de fermeture ». Par ailleurs, des réflexions sont en cours pour l’adoption de texte qui réglementera la presse en ligne. Sur les 300 agences de communications, seule une dizaine répond aux attentes des usagers. Ces mises en garde du président de la HAC seront-elles prises comme des menaces réelles par les intéressés?
La HAC a-t-elle les moyens de sa politique? Ce sont entre autre des questionnements qui taraudent les esprits. Réguler un monde de la communication qui subit d'énormes influences et pressions, est loin d'être chose aisée, surtout pour une jeune structure à la recherche de renom. L'application des mesures ci-dessus citées exige le soutien dune volonté politique de taille. Prendre une décision est une chose, mais l'appliquer en est une autre. En tout cas, au risque de se faire ridiculiser, la HAC doit se donner les moyens pour combler les attentes.
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GREVE ILLIMITEE DES ENSEIGNANTS : L'AEEM s’inquiète et met en garde
La grève illimitée des enseignants déclenchée par le SNESUP, suit son cours normal. Soucieux du sort de ses camarades, le Secrétaire général du Bureau de la Coordination nationale de l'Association des élèves et étudiants du Mali (Aeem), Abdoul Salam Togola, était face à la presse pour exprimer son inquiétude et inviter par la même occasion les autorités compétentes et le corps professoral à penser à l'avenir des étudiants qui sont aussi leurs enfants.
Depuis un certains temps, l'école est paralysée en raison des mouvements des enseignants. Ce phénomène veut devenir un blocage pour la formation des élèves et étudiants, voire leur avenir, a laissé entendre Togola. Face à cette situation, l'AEEM estime que les plus autorités scolaires et universitaires doivent mettre les enseignants dans les meilleures conditions de vie et de travail. Car, selon lui, le métier d'enseignement est noble et n'a pas de prix.
En revanche, le ségal de l'AEEM a sollicité avec humilité et respect le corps professoral de penser à l'avenir des élèves et étudiants qui sont leurs enfants. En lançant un cri de cœur, le jeune Abdoul Salam a indiqué que « toute revendication d'amélioration de conditions de vie et de travail est légale et légitime , mais doit aussi faire preuve de vigilance sur les méthodes de revendications pour ne pas faire plus de victimes » .
Mettant en garde les personnes de mauvaises volontés qui veulent aggraver leur souffrance en incitant certains délinquants à faire sortir les établissements privés, Togola a été on ne peut plus clair : « l'AEEM n'a pas l'intention de rester bras croisés et voir leur avenir partir en fumée ». C'est pour cette raison, il a fait cinglant démenti: «Nous démentons publiquement ces affirmations et nous condamnons fermement ces actes qui n'honorent pas l'école malienne». Avant d’ajouter que celui qui sera appréhendé pour ces sorties intempestives au nom de l'Aeem sera remis aux forces de l'ordre pour répondre à ses actes. Il a soutenu que l'Association n'hésitera pas d'utiliser tous les moyens légaux pour que les élèves et les étudiants puissent avoir une bonne formation et dans les règles de l'art.
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