L’association des parents d’élèves demandent aux différentes parties de faire des efforts de conciliation. Selon elle, « cette situation joue beaucoup sur le cursus scolaire des enfants ».
« Dites-vous que nous sommes pratiquement vers la fin. Et jusqu’à présent les élèves sont sans cours, sans instruction. Nous les parents d’élèves, nous sommes un peu plus perplexes. Nous avons toujours attiré l’attention des uns et des autres pour faire remarquer la gravité de la situation », rappelle Dioukamadi Sissoko de la fédération nationale des parents d’élèves. Et pour sauver l’année scolaire, il rassure en ces termes : « Il y a une solution. Que chacun s’y mette un peu et puis ça va aller.
Le Gouvernement aussi doit savoir maintenant que trop, c’est trop. Il n’a qu’à gérer maintenant le problème de façon tout à fait orthodoxe. Ce n’est pas au-dessus de leurs moyens. Ils n’ont qu’à faire des efforts chacun de leurs côtés et puis tout ira bien. Ils n’ont qu’à voir le cas des enfants. Actuellement, l’école est sous-régionale. Et qu’est-ce que nos enfants vont pouvoir faire si les temps d’étude ne sont pas bien remplis. Qu’ils regardent l’avenir des enfants. C’est plus important que n’importe quel trésor ».