Arrêté le 6 mars à Bamako pour avoir publié dans le quotidien Le Républicain une lettre ouverte de soldats contre le capitaine Sanogo, le journaliste Boukary Daou a été transféré jeudi des services de la sécurité d'Etat à la brigade d'investigation judiciaire. Alors que les journalistes maliens ont décidé de lever leur mouvement « presse morte » tout en restant vigilants, les avocats de l'intéressé ont pu voir leur client ce vendredi 15 mars.... suite de l'article sur RFI