A défaut de privatiser l’armée malienne, nos soldats sont livrés à des attaques djihadistes malgré la présence des forces onusiennes. Si le président IBK ne songe pas à mettre fin à la présence des forces onusiennes (MINUSMA) et françaises (Serval devenu Barkhane) d’ici la fin du mandat présidentiel, il n’y aura plus de soldats au Mali; le camp militaire de Kati disparaitra pour ne plus faire «peur» aux pseudo-démocrates. Ainsi l’armée malienne sera «privatisée» pour le bonheur de certains démocrates. Les forces Barkhane et de la MINUSMA prendront le relais.