Une centaine de manifestants qui protestaient contre ce texte, conférant selon eux trop de pouvoirs au président de la République, ainsi que contre les conditions d’organisation du scrutin, ont été dispersés jeudi matin par la police à Bamako, a constaté un journaliste de l’AFP.
"Cette révision intervient dans un contexte où l’existence même du Mali n’a jamais été aussi menacée", a déclaré à l’AFP un des organisateurs de la marche, Malick Konaté.