Adopté par l’Assemblée nationale le 3 juin dernier, le projet de révision constitutionnelle domine les débats sur les réseaux sociaux et crée du coup des parties opposées : les partisans du Oui et les défenseurs du Non.
Se croyant défenseur de la bonne cause, chaque camp se dit agir pour le bonheur du peuple malien.
Convaincu d’avoir raison sur l’autre, chaque protagoniste se livre à des clashs sur les réseaux sociaux quant à la pertinence ou non de ce projet de constitution.
Avec une position centriste, d’autres jouent à l’apaisement entre les deux protagonistes qui se traitent de « négativistes », de « corrompus », de « malhonnête », etc.