Au tripatouillage de la loi fondamentale en cours, ils viennent ajouter la censure sur le réseau social Facebook, attentatoire à la liberté d’expression, droit consacré par la constitution.
La censure d’internet ou des réseaux sociaux est généralement le fait des régimes autoritaires ou dictatoriaux pour museler les voix dissidentes. Panique du pouvoir ou tentative d’intimidation ?
Internet est un lieu de communication et d’échanges d’informations, ce qui n’est pas du goût de tout le monde. Certains États surveillent et espionnent le contenu des connexions de leurs populations et au besoin, n’hésitent pas à filtrer l’accès à certains sites ou services qu’ils jugent néfastes à leurs intérêts.
À l’heure du World wide Web, de la mondialisation et de la globalisation des échanges numériques, de la généralisation de la communication par voix IP, de la génération connectée sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Viber…), il existe des possibilités de contournement de la censure. Ils veulent faire main basse sur notre fluidité de l’esprit, ils veulent mettre notre libre arbitre sous contrôle, bientôt ils vont décider pour nous ce qu’on appelle dans les rédactions une ligne éditoriale, une censure qui ne dit pas son nom, une dictature “Facebookienne”.
Qui sont-ils, ces adeptes de la pensée unique, bien-pensante qui veulent étouffer nos esprits, notre liberté d’expression?
Non, cet espace n’est la chasse gardée de personne et les différentes velléités de nous museler auront pour conséquence une riposte graduée et contournée par les moyens qui existent et pour la liberté, du moins les libertés dans le respect de l’État de droit et des institutions qu’on se le tienne pour dit!
C’est encore une fois, une erreur monumentale de communication, qui n’aboutira qu’à une radicalisation des différents mouvements spontanés pour le «NON» lors du référendum, et le moins que l’on puisse dire, l’optimisme est en train de changer de camp et la fébrilité atteindre le pouvoir avec une onde choc planétaire !