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Révision constitutionnelle : Me Tall pour une seconde relecture ou un retrait
Publié le mercredi 5 juillet 2017  |  Les Echos
Atelier
© aBamako.com par Androuicha
Atelier de formation sur la cybercriminalité
Bamako, le 28 mars 2017. Sous la présidence du ministre de l`Economie Numérique et de la Communication Me Mountaga TALL, l`Agence des Technologies de l`Information et de la Communication (AGETIC) a, en partenariat avec General Computech, ouvert un atelier de formation sur la cybercriminalité.
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La révision de la Constitution proposée par le président de la république mobilise certaines personnalités de la classe politique y compris de la majorité présidentielle. Me Mountaga Tall monte au créneau et suggère un renvoie devant l’Assemblée nationale pour une relecture du texte ou un retrait pur et simple du projet par le président de la République.
Mountaga Tall, président du Cnid /FYT propose la mise en place d’une équipe conduite par un connaisseur de l’Etat. Selon lui, ladite équipe devrait être composée de représentants des membres de toutes les forces vives de la nation, entre autres, du Conseil national de la société civile, des deux Plateformes (An tè a bana et An sona), des universitaires, des représentants de la majorité présidentielle et de l’opposition, de la Commission Lois à l’AN, de la CMA et de la Plateforme. Cette liste, selon Me Tall, n’est pas exhaustive.
Dans sa proposition, le président du Cnid/FYT énumère les points sur lesquels le débat devrait se porter, dont les points contestés par les partisans du Non an Tè a bana, qu’il juge d’ailleurs surmontables, selon sa vision.

Selon Tall, à l’issue de ce débat, le président de la République pourrait décider du retrait ou du vote référendaire. Mais, toujours est-il que Me Tall propose le renvoie du texte devant les députés pour une seconde lecture. A ses dires, le Oui ou le Non, en état actuel, ne serait pas signe d’apaisement. Me Tall pense que le Oui divisera les maliens alors que l’objectif recherché par le référendum est l’union et non pas la division. Quant au Non, il mettrait un frein au processus de mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation.

Koureichy Cissé

(Stagiaire)
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Les Echos N° 3864 du 3/5/2012

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