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Santé CANAM : Quand un Responsable sacrifie la communication
Publié le vendredi 14 juillet 2017  |  L'Observatoire
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Invité par un média de la place pour vanter des produits de la CANAM, notamment l’AMO, un responsable refuse de communiquer. Il privilégie la magouille financière plutôt que de donner plus de visibilité à une structure aussi importante qu’est la CANAM.

S’il y a une structure qui a souci de se donner plus de visibilité et de se faire de nouveaux clients, c’est bien la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CANAM), qui est convaincue que la presse a un rôle déterminant dans la vulgarisation de l’information et demeure un véritable relai de sensibilisation entre elle et la population.



Mais, la gestion de la communication au sein de la structure est prise en otage par l’un de ses responsables, qui se livre à la magouille financière en manipulant comme bon lui semble les fonds alloués à la communication. Il s’agit bien de l’appropriation d’une partie du Budget de la communication dont il a la responsabilité.

Selon des informations reçues, l’un des Responsables de la CANAM, probablement celui en charge du volet communication, a du mal à communiquer avec les chaines audio-visuelles de la place. Car, les invitations des télés ont de la peine à trouver des suites favorables.

Alors que l’on prend du plaisir à gaspiller les sous avec d’autres formes de médias pour les mêmes activités, sans impact réel. Car, les initiateurs des échanges CANAM-Presse sont plus préoccupés à se faire les poches que de divulguer des informations à l’actif de la structure.

Par ailleurs, il nous est revenu que ce n’est pas un simple refus, mais que le Responsable en question veut communiquer très moins, avec très peu d’organes de presse que prévus, pour profiter du reste des fonds destinés à la communication.

Les populations ont besoin plus d’informations sur la CANAM. Et pour atteindre un plus grand nombre de Maliens, la presse écrite et audiovisuelle a aussi un grand rôle à jouer. Car, si on sait que les populations sont analphabètes dans leur grand ensemble, les bandes sonores et visuelles, elles leur sont plus accessibles. Temps est-il donc que ce responsable peu loyal, sache que cette pratique présage d’un avenir peu reluisant pour la structure dont les défis sont énormes au Mali.

Affaire à suivre dans nos prochaines parutions.

Cyril ADOHOUN

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