Dans un communiqué publié ce vendredi, La Communauté internationale, qui est garante de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali, a vivement condamné les dernières violations du cessez-le-feu, survenues le 26 juillet dans les régions de Kidal et de Gao entre la Plateforme et la CMA.
Elle appelle aussi le Conseil de Sécurité des Nations Unies à envisager sérieusement des sanctions contre ceux qui violent le processus de paix au Mali, en vertu de la résolution 2364.
Elle appelle en outre à respecter le droit international humanitaire, notamment concernant la population civile et les prisonniers.