Trois à quatre cas de viols, c’est ce que l’ONG GREFA enregistre par semaine à Gao. Ces viols, qui n'épargnent pas les mineurs, sont de tout genre. Mais rarement, justice est rendue aux victimes. La présidente de l’ONG GREFA souligne une lenteur dans le traitement des dossiers au niveau des instances judiciaires. Fatoumata Toure est au micro de Aissata Ahamadou.