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Échos de nos régions : Ansongo : deux dawshaks tués et deux autres pris en otage
Publié le lundi 7 aout 2017  |  L’Indicateur Renouveau
Libération
© aBamako.com par A S
Libération des localités de Douentza et Gossi.
Les localités de Douentza et Gossi ont été libérées les 14 et 15 janvier 2013 par les forces armées française et malienne.
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Six hommes de la communauté Dawshak ont été enlevés hier par des hommes armés non identifiés à bord de deux véhicules à Oudeïna, village situé à 70 km de Talataye dans le cercle d’Ansongo. De sources locales, après l’enlèvement, les assaillants ont tué deux des otages et libéré deux autres avant de s’enfuir avec les deux qui restent.

ANSONGO : un mort dans un accident de circulation



Un mort, c’est le bilan d’un accident de circulation survenu samedi à 60 km d’Ansongo sur la route de Menaka. De sources locales, la victime sur une moto a été heurtée par un camion en excès de vitesse.Il s’agit d’un homme âgé d’une soixante d’année. Le corps a été évacué à Ansongo.

DOUENTZA : attaque d’un car de Nour Transport

Un car de la compagnie Nour transport a été attaqué vendredi dernier par 6 hommes armés à 13 km de Douentza. Les occupants du véhicule ont été dépouillés de tous leurs biens. Selon des témoins, les bandits ont aussi tenté de violer 4 femmes avant de s’enfuir.

OTAGES : Al Qaita cherche de nouveaux fonds

L’otage sud-africain détenu dans le Sahel par Al-Qaïda au Maghreb islamique a été libéré mardi. L’information a été confirmée par la ministre sud-africaine des Affaires étrangères, Maite Nkoana-Mashabane, sans plus de détails. Stephen McGown a été enlevé en novembre 2011 à Tombouctou en compagnie de deux autres occidentaux, un Suédois et un Néerlandais.

Pour certains analystes, les circonstances de cette libération peuvent s’expliquer par deux hypothèses. Ils estiment également qu’elle pourrait être un signe d’Al-Qaïda à s’ouvrir au dialogue. Ils disent aussi que ça démontre que l’organisation terroriste a des besoins de liquidités. Trois autres otages, enlevés au Mali, sont toujours retenus par des groupes jihadistes dans le nord du Mali
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