Le weekend dernier, la triste nouvelle s’est annoncée a vite répandu le pays à travers les réseaux sociaux. Chef pour d’autres puis encadreur, général Mady Macalou, chirurgien orthopédiste traumatologue au service des armées. Le général était le directeur à la direction centrale du service de santé des armées et non moins maître de conférences à la faculté de médecine et d’odontostomatologie.
Cette perte constitue un vide difficile à combler en matière de ressources humaines en matière de la santé des armées en particulier et la nation malienne en général. Le défunt Macalou a répondu présent à tous les appels de sa patrie. Il a accompli avec une grande satisfaction toutes les tâches qui lui ont été confiées, selon nombreux témoins. Ses patients aux nombres indéfinis ayant appris la mauvaise nouvelle resteront avec les regards impuissants se contenteront de la présentation de leurs condoléances. Le médecin Macalou du service militaire à la santé générale des citoyens ordinaires et civils a défendu le drapeau national sur toute l’étendue du territoire national sans distinction de races ou de sexes. Il a sauvé plusieurs vies et cultivé d’autres. Son départ sans retour serait le renfort du désespoir des patients nécessitant l’intervention dans le domaine de maladies de la traumatologie, de la chirurgie et l’orthopédie.
M Macalou était remarqué par son amabilité, son hospitalité et surtout sa générosité envers ses patients. Pour preuve, nombreux sont des patients démunis qui ont bénéficié le financement de leurs ordonnances venant de la poche du général Macalou. Dans sa carrière, le général n’a nullement osé de porter atteinte au respect du serment prêté. Il fait donc partie des pionniers qui garantissent l’application de la déontologie du métier de la santé. Le général a été arraché de l’affection de tous suite à une longue maladie qui lui a guetté non pas pour séjourner mais de l’emporter définitivement. Le décès du général est survenu au Maroc quand il suivait un traitement jusqu’à la date du 06 août 2017 qui détermine son dernier jour.
Cette perte sera difficile d’être comblée et durement attristée.
Toute l’équipe de la rédaction du journal « la relance » présente à l’armée, à la famille du défunt ses condoléances les plus affligées. Que le bon Dieu l’accueille dans son paradis.
Amen ! Dors en paix Mon général !
La rédaction
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