Ce n’est pas Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui a exécuté Philippe Verdon, l’otage français pris en otage en novembre 2011. Selon LeParisien.fr, il aurait succombé à une maladie qui l’a très affaibli.
L’otage français Philippe Verdon, pris en otage en novembre 2011, n’aurait pas été exécuté par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), mais il aurait succombé à une maladie contractée avant sa capture.
Contrairement à ce qu’affirmait un porte-parole de la nébuleuse terroriste, sa mort n’est donc pas une mesure de représailles contre la France dont l’armée combat les islamistes au Nord-Mali. « Après écoutes des conversations téléphoniques des jihadistes tout laissait à penser que Philippe Verdon, 55 ans, serait décédé il y a déjà quelque temps, très affaibli », a fait savoir le général Puga, chef d’état-major particulier du président, rapporte LeParisien.fr. Et de préciser : « Il souffrait en effet d’un double ulcère à l’estomac et d’hyperventilation (accélération respiratoire) ».... suite de l'article sur Afrik.com