L’Institut Universitaire de Gestion (IUG) relevant de l’Université des Sciences Sociales et de Gestion de Bamako (USSGB), a organisé les 26 et 27 Août 2017, sur la Colline de Badalabougou, son test d’entrée 2017, à l’endroit des nouveaux bacheliers.
La première enveloppe a été ouverte pour la circonstance par le Directeur Général de l’IUG, D r Alou Badra Macalou à 7 heures 45 mn dans l’Amphithéâtre de l’IUG où se trouvait 199 candidats et 8 surveillants, en compagnie de ses collaborateurs comprenant les différents acteurs de l’école sous la supervision des agents du rectorat dont Chiaka Samaké. « Je vous souhaite bonne chance et beaucoup de courage », a lancé le Dr Badra à l’endroit des compétiteurs. Pour ce test 2017, ils sont 9008 candidats à postuler, soit 5053 pour la Licence Création et Gestion d’Entreprises (CGE), 3125 pour la Licence Organisation et Gestion des Organisations (OGO), 830 pour la Licence Sciences et Techniques Commerciales (STC). Ce chiffre dépasse largement celui de 2016 qui était de 6879, soit une augmentation de 31% (ou 2129 candidats).
Les postulants examinent dans plusieurs centres sur la « Colline du savoir ». L’on note la Faculté de Droit Privé (FDPRI), la FSEG (Faculté des sciences économiques et de Gestion), à l’ex Flash, la FST (ex Fast), l’IUG. «D’habitude notre fourchette de recrutement est entre 800 à 850 personnes. Mais vu l’engouement de cette année, on peut atteindre les 1000 au plus car nos places sont limitées », annonce le directeur général Dr Badra Alou Macalou.
Selon le Directeur général, Dr Alou Badra Macalou, ce qui explique l’engouement des étudiants pour ce test d’entrée, est l’employabilité quand ont voit l’environnement professionnel. «C’est l’ajustement de l’emploi avec la formation », résume-t-il. Et d’ajouter, «mes impressions sont très bonnes avec ce que j’ai vu d’abord. Tout est en place : candidats, surveillants, feuilles d’examens, etc. Nous estimons que cela va continuer pour la suite. Notre approche est participative ici. Tout le monde participe à l’organisation: syndicat d’enseignant, Aeem, travailleurs de l’administration. Car nous pensons qu’on ne peut réussir sans les autres. Même s’il y a des problèmes, déclare Dr Alou Badra Macalou, cette une démarche que je ne vais jamais interrompre.