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Résolution de la crise malienne : place à la force conjointe du G5 ou la Minusma nouvelle formule !
Publié le mercredi 20 septembre 2017  |  Le Reporter
Réunion
© Autre presse par dr
Réunion de haut niveau du G Sahel à l`ONU Les pays du G5 veulent du concret, pas des promesses
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On a beau installer le G5 Sahel tant qu'on ne règlera pas le problème à la source, l'échec total est garanti. Comme c’est le cas de l'opération française Barkhane.




Il faut d'abord se poser des questions : pourquoi tous ces problèmes ? Qui sont les responsables ? Jouent-ils franc jeu avec le Mali ? La réponse est non. La CMA est le seul responsable de ce désastre et ses responsables se pavanent dans les rues de Bamako, sont logés dans de grands hôtels et roulent dans de grosses cylindrées, parfois même blindées, sans être inquiétés. Et, pendant ce temps, les réfugiés sont sous le soleil et sous la pluie sans nourriture ni eau.
Un accord de paix a été signé avec eux, mais ils jouent toujours un double jeu. Alors, tant que le problème de Kidal n'est pas réglé, ce G5 Sahel sera un véritable fiasco. La Mauritanie fait partie du G5 Sahel, mais tout le monde sait que ce pays est la base arrière du Mnla et du colonel Bamoussa Diarra, un lieutenant d'Iyad Ag Ghaly, qui sème la terreur dans les zones comme Nara, Nampala, Djoura, Diabali...
Ahmadou Kouffa n'est qu'un pantin manipulé par le chef terroriste Iyad Ag Ghaly, qui a profité des exactions commises par l'armée malienne dans la zone de Mopti contre la population pour gagner les cœurs des jeunes. Tous les vendredis, Kouffa fait des prêches très violents contre le gouvernement et l'armée. Son mouvement diffuse largement ses prêches dans la zone via Bluetooth, WhatsApp..., et ça encourage les jeunes à adhérer à son mouvement.
Pour remédier à tous ces problèmes, il faut que l'armée soit républicaine et qu'elle reconquière les cœurs des jeunes de la région en collaborant avec eux. À défaut, elle ne gagnerait guère cette guerre contre le terrorisme. Quand on discute avec certains jeunes de la région de Mopti, ils affirment se sentir en sécurité avec Kouffa qu’avec l'armée malienne.
La corruption, l'injustice, le clientélisme, le copinage...au sommet de l'État sont des facteurs qui encouragent beaucoup de pauvres frustrés à prendre les armes contre le pouvoir.
M.B.H
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