La Société africaine d’études et de réalisations (SAER-EMPLOI), vient de signer une convention de fourniture de 100 bus interurbains avec une société chinoise dénommée « Shandong weichai Import et export coproration ». La cérémonie de signature de cette convention s’est déroulée, le jeudi 21 septembre 2017, dans la salle de conférence du siège du SAER-Emploi, en présence de son Directeur général Dadié dit Amadou Sankaré; du responsable de vente en Afrique de l’ouest du ‘’WEICHAI’’, Wang Ge et ainsi que plusieurs personnalités de deux sociétés.
Notons que la Société africaine d’études et de réalisations (SAER-EMPLOI), a été créée en février 1993 par des jeunes cadres maliens dont le souci principal est de promouvoir le développement économique et social du Mali en particulier et de l’Afrique en général. C’est dans le sens de ses objectifs que la SAER apporte des projets concrets afin de développer notre pays et le transformer en un État moderne. C’est dans cette logique qu’elle vient de signer une convention avec une société chinoise pour importer 100 bus ultra modernes qui permettront de rendre la vie facile au peuple malien dans leur déplacement interne et ailleurs.
Selon le Directeur général de la Société africaine d’études et de réalisations (SAER-EMPLOI), Dadié dit Amadou Sankaré, cette convention concerne la fourniture des engins dont des véhicules des transports urbains, des véhicules des transports interurbains et des véhicules des transports des marchandises. A ses dires, ce projet a été initié pour rendre la vie facile au citoyen lambda parce que le Mali est un pays qui est séparé par 8 frontières donc il faut des véhicules qui répondent à la commodité des passagers. L’Etat, a-t-il dit, assure la construction de vastes chantiers routiers donc il faut qu’on songe à avoir aussi des véhicules qui puissent rendre heureux les passagers dans leur voyage.
Concernant la mise en œuvre de ce projet, il a souligné qu’après la signature, ils finaliseront le reste du projet en Chine avec ladite société chinoise laquelle produit ces engins. « C’est cette société qui produit ces engins et dès qu’ils seront prêts on va passer à la phase de l’exécution donc peut être dans 6 mois ou une année », a précisé le DG Sankaré, et d’ajouter qu’avant cela, ils échangeront sur la modalité de la mise en œuvre et la distinction du rôle de tous les acteurs dont l’Etat.