Sous des formes plus insidieuses, le Mali est menacé de mort aujourd’hui. L’oligarchie Politique qui dirige le pays depuis 1991, démolit méthodiquement la Nation, la République et n’offre aucune perspective pour la jeunesse.
Avec un système éducatif inadapté aux réalités du Mali et l’un des moins performants au monde, une économie dominée par l’informelle et la corruption, nous assistons au déclin du Mali.
· Déclin de l’indépendance et la souveraineté populaire et nationale
· Déclin du modèle social hérité du régime socialiste de 1960
· Déclin des libertés républicaines et la démocratie
· Déclin de la jeunesse : précarisation massive, destruction de l’Education nationale
Le régime IBK porte une responsabilité écrasante dans cette mort programmée de notre pays.
Pourtant, les « opposants » officiels à IBK ne contestent le système que sur la forme.
C’est pourquoi le mouvement BI-TON appelle les citoyens à construire eux-mêmes une alternative républicaine, patriotique et progressiste !
Résister au quotidien, c’est avant tout :
· Exiger la mise en place d’une autorité indépendante pour la transparence dans les processus de recrutement dans les entreprises et sociétés d’Etat,
· Identifier tous les demandeurs d’emploi de manière formelle et mettre en place des mécanismes d’aide et d’accompagnement.
· Agir pour que l’école Malienne soit réformée afin de garantir les mêmes chances pour tous les Maliens et d’offrir une éducation de qualité et de masse.
· Agir pour réindustrialiser notre pays car sans production, un pays perd son savoir faire, s’endette et meurt ;·
· Exiger la transparence dans l’exploitation des mines d’or et renégocier tous les contrats miniers.
Pour cela le Mouvement BI-TON propose dans l’immédiat de le rejoindre et de s’organiser :
· De se réunir dans les villages et les villes sur la base de cet appel,
· De préparer une rencontre nationale à Bamako le samedi 14 octobre 2017 au Palais de la culture de Badalabougou.
· Appelons le peuple Malien à s’unir et à s’organiser dans des comités populaires de résistance patriotique et sociale.
La Rédaction