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L’arnaque de la création monétaire !
Publié le mercredi 11 octobre 2017  |  Le Démocrate
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Quand le marchand d'arme s'allie au banquier, il lui permet d'éliminer ses créanciers que sont les civils, c'est hyper rentable et permet du même coup un reset du système au cas où le peuple aurait compris l'arnaque de la création monétaire ex-nihilo...Ceci mérite réflexion et explication: 1. Les avoirs des clients des banques ne sont pas sur des comptes séparés qui appartiendraient aux clients. Les comptes des clients des banques figurent dans la comptabilité des banques, au bilan de celles-ci, et au passif.

Cela signifie que l'argent que nous, les clients des banques, les "non-banques", croyons posséder, est en réalité un simple avoir qui est en possession de la banque, que la banque nous doit, comme on peut avoir un "avoir" dans n'importe quel commerce. Cet avoir est donc une dette de la banque envers nous. Cette dette peut être transférée à un autre client, mais si nous voulons la récupérer nous-mêmes en liquide, cette dette doit nous être payée sur simple demande (d'où le nom anglais "demand deposits", en français "dépôt à vue"). Cette dette ne peut nous être rendue en liquide qu'à deux conditions :
a-). que la banque soit ouverte, ce qui exclut les cas où la banque est fermée, pour cause de faillite par exemple,
b-). que la banque possède assez de monnaie "réelle" ( monnaie fiduciaire en pièces et billets) pour que nous puissions récupérer notre avoir.
Si nous mourons, nos avoirs peuvent être récupérés par nos héritiers si nous en avons, sur simple présentation d'un certificat de décès.
Conclusion: en cas de guerre, les avoirs que détenaient les banquiers au nom de tous les morts sont bien sûr perdus pour les morts. Ces avoirs sont aussi, dans la mesure où personne ne viendrait les réclamer, tout bénéfice pour les banquiers, qui diminuent d'autant leur passif (leurs dettes envers les non-banques). Ils se retrouvent ainsi avec des bilans largement excédentaires, c'est-à-dire avec des masses de monnaie fiduciaire, de titres hypothécaires, d'actions et d'obligations que personne ne viendra jamais leur réclamer.
D'où l'importance de tuer les femmes et les enfants dans des guerres organisées par les banquiers et pour les banquiers. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) la guerre en Syrie a produit un bilan de 96 000 civils, dont plus de 17 400 enfants et près de 11 000 femmes depuis que la guerre a éclaté, en mars 2011.
Alors qu'en est-il de l'Iraq, de la Libye, du Mali.... ?
Sambou Sissoko
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