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Arrangement Salaha-Mamoutou: Comment ils veulent se partager la Fémafoot?
Publié le vendredi 20 octobre 2017  |  Les Echos
Football:
© aBamako.com par mouhamar
Football: Premier point  de presse de Henry Kasperczak
Bamako, le 30 décembre 2013 (FEMAFOOT). Le nouvel entraîneur des Aigles, Henry Kasperczak, animera son premier point de presse ce lundi au siège de la Fédération malienne de football à partir de 12 h 00. En marge de cette cérémonie, se déroulera la remise d’équipements sportifs aux clubs de football féminin.
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Les arrangements en cours qui devront avoir lieu dans un plus bref délai dans les services d’un ministre de la République au sujet de l’assemblée générale élective de la Fémafoot terminée dans la confusion totale le 8 octobre dernier sont, selon certains observateurs, des intérêts égoïstes.
Les camps qui s’affrontent pour le contrôle de la Fédération malienne de football essaient de trouver un terrain d’entente. Ce qui n’est pas du goût de tout le monde.

Maître Bassalifou Sylla ne décolère pas depuis quelques jours. L’ire du vice-président du Djoliba a été provoquée par l’investiture du candidat Mamoutou Touré qui a provoquée le courroux des instances internationales et autorités sportives nationales.

L’inter médiateur dit parler au nom du chef de l’Etat, qui a demandé que les textes de la Fémafoot soient respectés. Il prône également l’apaisement dans le sens de faire avancer les choses dans le football. Comme conditions au respect des textes, le clan Salaha Baby brandit quelques exigences : que certaines dispositions des statuts soient modifiées, que le cas des Ligues parallèles soit tranché immédiatement, que les clubs fictifs soient expurgés du processus, etc.
On doit se poser la question de savaoir si le football malien n’est pas en voie d’être politisé.
L’Etat est divisé. Quant on voit l’attitude du ministre des Sports, du président de l’Assemblée nationale qui se met au-devant, alors que ce n’est ni de son domaine ni de son ressort.
Dans le cas de l’assemblée générale de la Fémafoot du 8 octobre dernier, toutes les institutions de la République devraient prendre leur conduite auprès du ministre en charge des Sports. Il doit être le premier à se prononcer. Mais, lorsqu’une institution se prononce avant lui, on l’invite à suivre quelque chose.

En se précipitant pour reconnaître un camp, on veut mettre le ministre des Sports au pas. Or, le gouvernement doit parler le même langage. « Nous savons bien que c’est le président de l’Assemblée nationale qui est le parrain de cette mascarade. Il est aidé par des gens tapis dans l’ombre à l’AN, à la Primature, ainsi qu’à la présidence de la République», a laissé entendre un membre du Collectif.

A l’en croire, ils veulent pousser le ministre des Sports à soutenir comme eux le mensonge et l’injustice. « Heureusement que le gouvernement n’attend pas reconnaître ce groupe d’amis à travers le ministre des Sports ».
Le ministre du Commerce en charge de l’application du protocole d’accord signé entre protagonistes, serait intéressé ?
Sarr
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Les Echos N° 3864 du 3/5/2012

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