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Moussa Mara au camp 1 sur dénonciation d’Assane Sidibé et non Issa sidibé
Publié le mardi 24 octobre 2017  |  Le Témoin
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© aBamako.com par mouhamar
Le premier ministre Moussa MARA à la rencontre de la majorité présidentielle
Bamako, le 24 avril 2014 à l`hôtel Lagon. Le premier ministre, Chef du gouvernement, Son Excellence Moussa MARA était à la rencontre de la majorité présidentielle.
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La capitale malienne avait été secoué avec l’affaire ayant conduit l’ancien PM chez les gendarmes du célèbre camp 1. Après recoupements, il s’avère que le commanditaire est le jeune maire Assane Sidibé et non son collègue Issa Sidibé.
Votre hebdomadaire publiait, en effet, dans sa parution numéro 158 du lundi 9 Octobre 2017 cette info qui fera le tour des salons feutrés. Elle tient à la révélation comme quoi Moussa Mara a été interpellé au sujet de la gestion foncière de la commune IV sous sa direction. Un passage au camp 1 que La Témoin attribuait dans sa parution y afférente au conseiller Issa Sidibé, suite à un audit des services domaniaux de la municipalité conduit par ce derniers. Suite à un contact entre votre journal et les services concernés de la mairie où officiait Moussa Mara, il nous été signifié que nous avons confondus Issa Sdibé avec Assane Sidibé, le véritable élément déclencheur de la vague d’interpellations d’anciens responsables de la municipalité dont il est le conseiller chargé des questions foncières. Ce dernier est actuellement en guerre contre les spéculateurs fonciers vient d’échapper à une tentative d’assassinat. Issa Sidibé, qui a quant à lui la gestion de l’Etat-civil en plus d’être membre du nouveau bureau de la FEMAFOOT, n’a donc aucun lien avec le déclenchement de l’affaire. La Rédaction présente ses excuses aux lecteurs pour cette confusion. En attendant, l’affaire continue de faire grand bruit. Moussa Mara se serait déjà expliqué par voie de presse indiquant avoir fait un audit de plus de 9000 cas litigieux. Il défend n’avoir aucunement vendu une parcelle surtout qu’au moment de trancher, il fut appelé à servir au gouvernement. Le débat est loin d’être fini !



La Rédaction
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