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Hygiène hospitalière : Une exigence forte du ministre de la santé
Publié le vendredi 27 octobre 2017  |  L’Essor
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© aBamako.com par A S
Session de plaidoyer de haut niveau sur la santé de la reproduction et l`abandon du mariage d`enants
L`hôtel Radisson a abrité le 25 Octobre 2017, une Session de plaidoyer de haut niveau sur la santé de la reproduction et l`abandon du mariage d`enants
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Lors de sa récente visite inopinée dans certaines structures de santé, le Pr Samba Ousmane Sow a fait des constats qui l’ont conforté dans ses convictions de renforcer l’assainissement dans nos établissements hospitaliers

Du point de vue organisation, méthode de travail et perspectives d’innovation, l’esprit d’initiative du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le Pr Samba Ousmane Sow séduit. Pour ceux qui le pratiquent, il convainc par sa vision et son analyse des grands dossiers de la santé.
Ce chercheur hors pair ne cesse de pousser à la roue pour l’amélioration de l’offre de soins y compris l’hygiène hospitalière parce qu’il reste convaincu que nos établissements sanitaires peuvent aussi boxer dans la catégorie des grands (avec les compétences qui y officient et le plateau technique de pointe dont ils disposent). Ils doivent offrir des certitudes aux malades et aux praticiens, en termes d’hygiène hospitalière.
Le crédo du département de la Santé est la participation de tout le monde pour résoudre les problèmes de la santé et rester dans le sens de la marche. Le ministre en charge du secteur de la Santé estime qu’on ne peut pas prétendre à une santé de masse sans impliquer tout le monde, en termes clairs chacun à un rôle à jouer (décideurs, praticiens, malades et usagers). Aujourd’hui, le département de la Santé, sous la conduite du Pr Samba Ousmane Sow, intègre l’hygiène publique et hospitalière (c’est-à-dire en milieu de soins) dans les priorités. Il est admis et partagé par tous l’urgence et la nécessité pour nos structures de santé d’accomplir de gros efforts pour répondre aux exigences en matière d’hygiène hospitalière. Le tableau peint par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les infections nosocomiales, c’est-à-dire les maladies qu’on attrape à l’hôpital interpelle sur l’urgence d’agir.
Mais le ministre Sow se projette au-delà des constats pour amener les établissements de soins à s’inscrire dans sa démarche et dérouler des actions d’amélioration de la sécurisation des praticiens et des malades en milieu de soins. Lors de sa récente visite inopinée dans les Centres de santé de référence (CSREF) et des établissements hospitaliers, il a mis le doigt sur la plaie. Dans certaines structures, les toilettes destinées au grand public sont mal entretenues et la gestion des déchets biomédicaux fait froid dans le dos.
Le ministre Sow n’a pas du tout apprécié certains constats. Certains établissement peinent à séparer les déchets ménagers des déchets biomédicaux. Il y a donc le risque de les mettre ensemble dans un même dépôt de transit et créer une confusion dans le traitement futur des déchets. Les déchets biomédicaux sont destinés à l’incinération pour éliminer les risques de contamination.
Mais l’Hôpital du Mali qui figure parmi les premiers de la classe a marqué des bons points. Il a même été félicité par la tutelle pour une gestion responsable et rigoureuse des déchets.
L’amélioration de la santé de nos compatriotes est une des grandes priorités du ministre en charge de la Santé depuis son entrée en fonction. A cet effet, le Pr Samba Ousmane Sow multiplie les initiatives et les actions pour atteindre des performances encore meilleures. Sur instruction du président de la République Ibrahim Boubacar Keita, il s’est attaché à la construction et la rénovation de CSREF dans plusieurs localités du pays, au renforcement de la lutte contre la maladie à travers la mise en œuvre de programmes de lutte contre la maladie et de protocoles de recherche. Par ailleurs, il y a eu un recrutement important de médecins, pharmaciens et d’autres spécialistes. Parce que les pouvoirs publics ont bien compris que la mise à disposition des compétences participe de l’amélioration de l’offre de soins.
Aujourd’hui, le ministre Sow est engagé dans un processus de réforme de la santé qui doit aboutir à la création d’un nouvel hôpital d’urgences à Bamako, la construction de nouvelles infrastructures hospitalières à Koutiala, Koulikoro et l’érection de l’hôpital régional Nianankoro Fomba de Ségou en un établissement hospitalier de 3è référence.
Partout et à toute occasion, le ministre Samba Ousmane Sow, très à l’aise dans les discussions, rassure ses interlocuteurs sur la volonté de son département à nouer le dialogue et la concertation avec tous les acteurs de la mise en œuvre de la Politique nationale de santé, de poser les vrais diagnostics et d’apporter les solutions.
Nos compatriotes apprécient la méthode du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique qui entend amener les hôpitaux, par exemple, à mettre une organisation en place pour répondre aux défis de l’accueil et de la qualité des soins. Ces établissements qui sont bien entrés dans l’ère de la technologie de pointe, possèdent tous un plateau technique ultramoderne. On doit donc dépasser la lancinante question de l’insuffisance des expertises. Parce que ce n’est pas vrai, notre pays dispose de la qualité (des bonnes compétences) mais c’est parfois une question d’autorité et d’organisation.
Samba Ousmane Sow et son équipe œuvrent à aplanir les difficultés. Signe de sa détermination : il a pris en août dernier la décision d’interdir de fumer dans les établissements de santé.

Brehima DOUMBIA
Lors de sa récente visite inopinée dans certaines structures de santé, le Pr Samba Ousmane Sow a fait des constats qui l’ont conforté dans ses convictions de renforcer l’assainissement dans nos établissements hospitaliers

Du point de vue organisation, méthode de travail et perspectives d’innovation, l’esprit d’initiative du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le Pr Samba Ousmane Sow séduit. Pour ceux qui le pratiquent, il convainc par sa vision et son analyse des grands dossiers de la santé.
Ce chercheur hors pair ne cesse de pousser à la roue pour l’amélioration de l’offre de soins y compris l’hygiène hospitalière parce qu’il reste convaincu que nos établissements sanitaires peuvent aussi boxer dans la catégorie des grands (avec les compétences qui y officient et le plateau technique de pointe dont ils disposent). Ils doivent offrir des certitudes aux malades et aux praticiens, en termes d’hygiène hospitalière.

Le crédo du département de la Santé est la participation de tout le monde pour résoudre les problèmes de la santé et rester dans le sens de la marche. Le ministre en charge du secteur de la Santé estime qu’on ne peut pas prétendre à une santé de masse sans impliquer tout le monde, en termes clairs chacun à un rôle à jouer (décideurs, praticiens, malades et usagers). Aujourd’hui, le département de la Santé, sous la conduite du Pr Samba Ousmane Sow, intègre l’hygiène publique et hospitalière (c’est-à-dire en milieu de soins) dans les priorités. Il est admis et partagé par tous l’urgence et la nécessité pour nos structures de santé d’accomplir de gros efforts pour répondre aux exigences en matière d’hygiène hospitalière. Le tableau peint par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les infections nosocomiales, c’est-à-dire les maladies qu’on attrape à l’hôpital interpelle sur l’urgence d’agir.

Mais le ministre Sow se projette au-delà des constats pour amener les établissements de soins à s’inscrire dans sa démarche et dérouler des actions d’amélioration de la sécurisation des praticiens et des malades en milieu de soins. Lors de sa récente visite inopinée dans les Centres de santé de référence (CSREF) et des établissements hospitaliers, il a mis le doigt sur la plaie. Dans certaines structures, les toilettes destinées au grand public sont mal entretenues et la gestion des déchets biomédicaux fait froid dans le dos.
Le ministre Sow n’a pas du tout apprécié certains constats. Certains établissement peinent à séparer les déchets ménagers des déchets biomédicaux. Il y a donc le risque de les mettre ensemble dans un même dépôt de transit et créer une confusion dans le traitement futur des déchets. Les déchets biomédicaux sont destinés à l’incinération pour éliminer les risques de contamination.

Mais l’Hôpital du Mali qui figure parmi les premiers de la classe a marqué des bons points. Il a même été félicité par la tutelle pour une gestion responsable et rigoureuse des déchets.
L’amélioration de la santé de nos compatriotes est une des grandes priorités du ministre en charge de la Santé depuis son entrée en fonction. A cet effet, le Pr Samba Ousmane Sow multiplie les initiatives et les actions pour atteindre des performances encore meilleures. Sur instruction du président de la République Ibrahim Boubacar Keita, il s’est attaché à la construction et la rénovation de CSREF dans plusieurs localités du pays, au renforcement de la lutte contre la maladie à travers la mise en œuvre de programmes de lutte contre la maladie et de protocoles de recherche. Par ailleurs, il y a eu un recrutement important de médecins, pharmaciens et d’autres spécialistes. Parce que les pouvoirs publics ont bien compris que la mise à disposition des compétences participe de l’amélioration de l’offre de soins.

Aujourd’hui, le ministre Sow est engagé dans un processus de réforme de la santé qui doit aboutir à la création d’un nouvel hôpital d’urgences à Bamako, la construction de nouvelles infrastructures hospitalières à Koutiala, Koulikoro et l’érection de l’hôpital régional Nianankoro Fomba de Ségou en un établissement hospitalier de 3è référence.
Partout et à toute occasion, le ministre Samba Ousmane Sow, très à l’aise dans les discussions, rassure ses interlocuteurs sur la volonté de son département à nouer le dialogue et la concertation avec tous les acteurs de la mise en œuvre de la Politique nationale de santé, de poser les vrais diagnostics et d’apporter les solutions.

Nos compatriotes apprécient la méthode du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique qui entend amener les hôpitaux, par exemple, à mettre une organisation en place pour répondre aux défis de l’accueil et de la qualité des soins. Ces établissements qui sont bien entrés dans l’ère de la technologie de pointe, possèdent tous un plateau technique ultramoderne. On doit donc dépasser la lancinante question de l’insuffisance des expertises. Parce que ce n’est pas vrai, notre pays dispose de la qualité (des bonnes compétences) mais c’est parfois une question d’autorité et d’organisation.
Samba Ousmane Sow et son équipe œuvrent à aplanir les difficultés. Signe de sa détermination : il a pris en août dernier la décision d’interdir de fumer dans les établissements de santé.

Brehima DOUMBIA
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