Dans un communiqué déposé à notre rédaction, la Convention des réformateurs pour l’alternance et la justice (Craj Faso Nyeta) de l’ancien leader estudiantin Mahamane Mariko a exprimé ses préoccupations face au mutisme de l’Etat dans le dossier de la disparition du journaliste Birama Touré, des actes de vandalisme à la radio Kayira de Koutiala, l’assassinat des 11 otages militaires maliens.
De la même manière, Craj Faso Nyeta dénonce le silence des autorités en ce qui concerne “la violence inhumaine et dégradante infligée aux migrants maliens en Angola, en Guinée Equatoriale, en Algérie, en Libye et l’enlèvement de Soungalo Koné, juge du tribunal de Niono et l’insécurité grandissante avec des victimes civiles et militaires dépassant toute proportion résiduelle”.
Dans ledit communiqué, le Craj faso -nyèta a invité l’Etat “à assumer son rôle régalien de protection de tous les citoyens sans exception aucune”.