Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Direction des informations et des relations publiques des armées : Départ massif des jeunes recrues en charge de l’information
Publié le lundi 27 novembre 2017  |  L'Espérance
Armée/Sécurité:
© aBamako.com par A.S
Armée/Sécurité: Cérémonie de fin de formation des brevets de la garde nationale.
Bamako, le 3 juin 2014. Des brevets de la garde nationale sont sortis de formation.
Comment


Sortis des écoles de journalismes ou détenteurs d’un diplôme supérieurs, ces jeunes ont font partir de la dernière vague de recrutement au sein des forces armées. Recrutés en 2015 au service de la direction des informations et des relations publiques des armées pour donner un nouveau souffle à cette structure. Après la formation commune de base, ces jeunes, au nombre de 26 ont rejoint la direction de l’information des militaires et y ont été formés au b-a-b-a de l’information militaire. Mais depuis, rien ne semble bouger : pas d’activités, aucun plan de carrière. Selon certaines de nos sources, ces jeunes ont été recrutés sur la base de leur niveau d’étude, c’est-à-dire avec leurs diplômes et avec possibilités de bourses à l’étranger.
En tout cas depuis un temps, ces jeunes soldats sont démotivés et prêt à jeter l’éponge. En fait certains l’ont déjà fait. A ce jour, quatre jeunes ont décroché, c’est-à-dire, ils ont déposé béret, rangers et tenue militaire pour tenter leurs chances ailleurs. Nous explique une de nos sources, si la gestion interne ne change pas, il est sûr et certain que la structure se vide de son personnel. En attendant, les responsables en charge de la structure doivent revoir leur copie de gestion de carrière du personnel afin de leur permettre de travailler convenablement.
Pour les responsables, contacté à cet, pour le moment on ne pêut pas parler de desertion. Quand meme, ils sont au courant du depart de certains. Le temps venu,nous plancheront sur la question.
Affaire à suivre
B. SANGALA
Commentaires