La capitale malienne s'apprête à accueillir la 11e biennale africaine de la photographie - organisé par l'Institut français, le ministère malien de la Culture, en partenariat avec Jeune Afrique -, qui rassemble les travaux de nombreux artistes. Une occasion de montrer qu'elle n'a rien perdu de sa flamme ni de sa ferveur créatrice.
Face à l’obscurantisme, face au repli identitaire, face à l’extrémisme, la culture est toujours une forme de réponse. Ville de musique, Bamako n’a jamais cessé de vivre. Ses créateurs continuent d’enrichir le monde, bien au-delà du Mali. Certains s’en vont, d’autres s’y installent, à l’instar du designer Cheikh Diallo. Comme ailleurs, le futile a droit de cité et cohabite avec la création la plus exigeante.... suite de l'article sur Jeune Afrique