Les élections auront bien lieu en juillet #aBamako

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Les élections auront bien lieu en juillet

Publié le lundi 22 avril 2013 | L’Essor

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Rencontre du ministre de l`Administration Territoriale Moussa Sinko Coulibaly avec la classe politique sur le RAVEC.
Lundi 3 aout 2012. Bamako. Gouvernorat du District de Bamako. Etaient également présents le ministre délégué chargé de la Decentralisation, Demba Traore; le gouverneur du district Souleymane Diabate, président de la CENI et le délégué général adjoint aux élections, Alou Sylla.

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Conférence de presse sur les activités préparatoires des prochaines élections présidentielles

- 14/2/2013

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Présidentielles 2013

Pari difficile certes, mais les autorités de la Transition, appuyées et en encouragées par la Communauté internationale, notamment la France et les Etats-Unis, tiennent à honorer leur engagement à tenir les élections au mois de juillet, du moins pour ce qui est de la présidentielle. Lors des travaux thématiques du groupe de contact et de suivi sur la situation au Mali, le ministre de l’Administration territoriale de la Décentralisation et de l’Aménagement du Territoire a indiqué une fois de plus que les élections auront bel et bien lieu avant le 31 juillet sans préciser les dates du scrutin.

Son collègue du Travail, de la Fonction publique et des Relations avec les Institutions qui assurait l’intérim du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a lui aussi insisté, lors du point de presse qui a sanctionné les travaux vendredi, sur la détermination du président de la République par intérim Dioncounda Traoré à écourter la transition pour laisser la place à une autorité élue, donc plus légitime à engager le pays. Le financement n’a jamais été un souci, selon la diplomatie malienne parce que les amis de notre pays se bousculent à la porte par rapport à ce paramètre.

La tenue de élections en juillet est cependant conditionnée à certains préalables : la sécurité (le désarmement du MNLA), le retour de l’administration et, bien entendu, la gestion de la situation des déplacés. C’est dire que le temps est désormais compté.

A. M. C

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