Les guerres d'Irak et d'Afghanistan menées par les Etats-Unis et leurs alliés se sont révélées, l'une comme l'autre, des guerres d'usure contre des irréguliers qu'il n'a pas été possible de vaincre malgré des moyens considérables en hommes et en logistique.
Dans un cas comme dans l'autre, la victoire a été proclamée après la chute d'un régime. Cependant, l'expérience démontre qu'un adversaire n'est vaincu que s'il admet sa défaite. Cela n'a pas été le cas en Irak où, dès le lendemain de la chute de Bagdad (2003), des actions à caractère terroriste ont affecté les troupes étrangères en milieu urbain comme à l'échelle des communications terrestres.... suite de l'article sur Autre presse