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Mali : la traque aux islamistes
Publié le vendredi 26 avril 2013  |  Le Figaro


© AFP par DR
Crise au nord du mali : un véhicule explose près d’un camp français à Kidal
Jeudi 21 février 2013. A Kidal, à 1.500 km au nord-est de Bamako. Un "véhicule est arrivé en filant vers le sud-ouest" de la ville et "a explosé à environ 500 mètres du camp occupé par les Français et les Tchadiens


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REPORTAGE - Les soldats tchadiens ont payé un lourd tribut, aux côtés des Français, dans les combats menés contre les djihadistes au Nord-Mali. Le photographe Patrick Robert les a rencontrés sur place.
C’était en février dernier, dans l’Adrar de Tigharghar, partie du massif des Ifoghas, au nord-est du Mali. Le commandement français venait de lancer l’opération «Panthère IV», définie comme «la dernière phase» de l’intervention Serval, selon François Hollande. Objectif: déloger les ultimes combattants d’Aqmi (al-Qaida au Maghreb islamique) et du Mujao (Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest) de ce massif montagneux et rocailleux, qui leur sert de forteresse naturelle. La géologie et la topographie en font un repaire idéal, difficilement accessible et fourmillant de grottes, cavernes, tunnels. Autant de caches pour stocker eau, vivres, armes, carburants et munitions. Et autant de geôles potentielles pour les otages français retenus par la nébuleuse islamiste...
La manoeuvre consiste à prendre l’ennemi en étau dans son sanctuaire supposé: la vallée d’Amettetaï, orientée est-ouest le long d’un oued où poussent quelques épineux bien utiles au camouflage. Une zone de 25 kilomètres sur 25 au début, qui se réduira progressivement et méthodiquement à un carré de 5 kilomètres sur 5. La progression se fait sur trois axes: les parachutistes du 1er RCP (régiment de chasseurs parachutistes) et du 2e REP (régiment étranger de parachutistes) au nord, les marsouins du 1er Rima (régiment d’infanterie de marine) à l’ouest et les Fatim (Forces armées tchadiennes en intervention au Mali) à l’est. Au total, 2400 hommes progressent sur le terrain, 1200 Français et 1200 Tchadiens. L’adversaire (estimé à 200 ou 300 combattants) est déterminé, voire fanatisé et il faut le déloger rocher par rocher.
Le 22 février, les Tchadiens lancent l’assaut contre un QG islamiste, âprement défendu. Un appui aérien est fourni par l’armée française. Bilan, de source tchadienne: (...)
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